La drépanocytose est une maladie héréditaire grave dont le dépistage à la naissance, en France, est depuis des années obligatoire pour les enfants dont les parents ont des origines africaines ou orientales.
Chaque année, les chiffres de ce dépistage étaient rendus publics. C’était le moyen d’avoir une approche statistique du bouleversement démographique mis en œuvre en France, puisque les statistiques ethniques sont interdites par la loi (et pour cause, elles sont alarmantes).
Mais en 2018, le régime a fermé l’agence qui publiait ces chiffres… Son travail rendait trop visible, de façon scientifique, le Grand Remplacement. Les derniers résultats publiés sont ceux de 2016.
Maintenant, afin de noyer le poisson et parce qu’une très grande partie des nouveaux-nés, en France, ne sont actuellement plus de race française, le régime veut rendre systématique le dépistage de cette maladie, même si c’est inutile (et donc inutilement coûteux) chez les petits Français.
« La drépanocytose, une maladie génétique qui cause de lourdes difficultés au quotidien, est en passe d’être dépistée chez l’ensemble des nouveau-nés français, et non plus seulement Outre-mer, aux termes du projet de loi présenté jeudi 27 octobre par l’exécutif sur la sécurité sociale.
(…) «À titre expérimental, pour une durée de trois ans, l’État peut autoriser la réalisation d’un dépistage néonatal de la drépanocytose de façon systématique et obligatoire», annonce un amendement intégré par le gouvernement au projet de loi de financement de la sécurité sociale.
C’est l’une des maladies fréquentes les plus répandues dans le monde, en particulier en Afrique. En France, elle est plus rare mais touche près de 30.000 personnes, selon les chiffres du gouvernement. Le dépistage à la naissance est un enjeu crucial, car il permet d’engager immédiatement des traitements de nature à alléger les symptômes et éviter les complications. » (source Le Figaro)