La Commission des affaires juridiques du Parlement européen a voté ce mercredi 24 juin 2015 en faveur de la levée de l’immunité parlementaire du Député européen Udo Voigt, membre du parti nationaliste allemand NPD.
Pourquoi cet opposant au mondialisme est-il poursuivi ?
Le régime totalitaire qui sévit en Allemagne lui reproche d’avoir – en 2006 – exprimé son insatisfaction devant la composition de l’équipe « nationale » de football, qui, comme en France, représenterait mieux un pays africain.
Cela lui avait valu une ahurissante condamnation en 2014 par le tribunal du Land de Berlin à un an de prison avec sursis pour « appel à la haine raciale et offense ».
Udo Voigt avait diffusé une image assez sobre, qui affirmait :
« Blanc : pas seulement une couleur de maillot. Pour une vraie équipe nationale. »
On apprend que, parmi les députés européens qui ont voté la remise d’Udo Voigt à la pseudo-justice allemande, en figurent deux, français, qui ont été élus sur les listes du FN : Gilles Lebreton (il y a quelques années encore opposant au FN mais qui a considéré en 2014 que le parti avait suffisamment changé) et Joëlle Bergeron (désormais dissidente).
D’après Lebreton, « ce grief est antérieur à son élection au parlement européen et n’a rien à voir avec ses fonctions d’eurodéputé. Marine Le Pen, à laquelle j’ai personnellement exposé cette affaire, a appelé toute la délégation FN à voter comme moi ».
Peut-être croient-ils se mettre eux-même à l’abri des foudres du Système en livrant un patriote plus « à droite » qu’eux ?
Grossière erreur, doublée d’une faute morale… Hodie mihi cras tibi…