La gifle du jeune Français Damien Tarel à Emmanuel Macron a donné lieu à un fonctionnement exceptionnellement « efficace » de la « justice » : comparution immédiate du prévenu, puis condamnation à 18 mois de prison, dont 4 fermes, avec incarcération immédiate.
Incomparable avec le sort des agresseurs et violeurs immigrés (d’en bas ou d’en haut) qui encombrent chaque jour les tribunaux. Grosso modo : quand ils sont attrapés, s’ils finissent par passer au tribunal, puis s’ils sont exceptionnellement condamnés à la de la prison, il leur arrive d’en faire effectivement quand la peine est supérieure à 12 mois fermes. Sinon, ils n’y vont pas, « faute de place ».
Pour un jeune Français – qui n’apparait pas a priori comme gauchiste –, le traitement est bien différent.
L’égalité républicaine probablement.