Des propos intolérables chez cette militante, déguisée en journaliste comme les autres, payée par nos impôts pour cracher sa haine :
« Roselyne Febvre, chef du service politique de France 24, n’a pas lésiné sur des éléments de langage très suggestifs au cours de l’émission Politique, diffusée le 28 février sur la chaîne publique française. Son thème : les Gilets jaunes, un mouvement pour lequel la journaliste a eu du mal à cacher son aversion, comme l’ont remarqué de nombreux internautes.
L’animatrice a ainsi posé les termes du débat : « Des Gilets jaunes, il ne persiste dans le fond qu’une colère brute parfois irrationnelle, d’où a émargé [sic] un goût pour la violence, l’antisémitisme, le racisme, le complotisme, bref tout ce qu’il y a de pire chez l’homme ; peut-on encore parler d’un mouvement des Gilets jaunes ?»
Elle donne ensuite la parole à son premier invité, Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’IFOP. Et, après que celui-ci a entamé une analyse de l’évolution de la sympathie des Français vis-à-vis du mouvement citoyen, ainsi que de ses débouchés, rapidement, Roselyne Febvre l’interroge : «Oui mais c’est quoi aujourd’hui ce mouvement, qu’est-ce qu’il est devenu ? Est-ce que c’est dans le fond devenu une espèce d’écurie de branquignols qui aime la vio…» Interloqué, son interlocuteur la coupe en répétant le mot «branquignol», dans un sourire gêné. «Non mais c’est vrai, non mais attendez, il y a un moment…», surenchérit alors la journaliste avant que son invité ne reprenne son analyse des changements obtenus par le mouvement des Gilets jaunes et de ses perspectives. »
Source et suite RT