Vojislav Seselj est le principal chef nationaliste serbe, et président du « Parti radical serbe » (dont une scission est actuellement au pouvoir). Prisonnier des geôles mondialistes depuis 10 ans, il n’a jamais cédé.
Il s’était rendu à une convocation du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY), à La Haye, en 2003.
Depuis cette date, il y est retenu prisonnier, pour un procès qui a duré près de 10 ans, et marqué par divers scandales (notamment le procureur Carla Del Ponte accusé d’avoir exercé des pressions sur les témoins à charge : chantage, menaces, pots-de-vin, etc.)
Il était accusé de crimes et d’incitation à la haine durant la guerre de Yougoslavie, dans les années 90.
Quoiqu’il se soit réellement passé durant cette période tragique, il convient de rappeler que le TPIY n’a aucune légitimité, et que cette structure judiciaire supranationale est une aberration juridique, au service du mondialisme.
Nous apprenons, qu’il y a une semaine, Vojislav Seselj a été opéré d’un cancer, qu’on lui a retiré une partie du colon et les ganglions lymphatiques, dans lesquels on a trouvé des métastases.
Bref, ses jours sont comptés…