« Alors que les mosquées se construisent par dizaines avec la bienveillance du gouvernement, Barbara Pompili, ministre de la transition écologique, vient d’ordonner à la préfecture de l’Ardèche de prendre un arrêté pour suspendre la construction d’une église au profit de la communauté catholique du village de Saint-Pierre de Colombier [Source].
Il doit probablement s’agir d’une des seules ou même de la seule église en construction en France.
Depuis qu’elle est ministre, Barbara Pompili a dû avaler de nombreuses couleuvres au nom du libéralisme et de la reprise économique (5G, insecticides, terrasse chauffées).
[…] N’ayant pas le courage de démissionner comme l’a fait Nicolas Hulot, peut-être s’est-elle trouvé cette cause pour redorer son blason ?
Quoi de plus facile que de s’en pendre aux chrétiens qui ne seront défendus par personne tout en faisant plaisir à l’extreme gauche locale mais aussi et surtout à son ancienne collègue d’EELV, Michèle Rivasi, député européenne, très engagée contre ce projet mais qui s’est faite ridiculiser localement aux municipales de Valence en 2014. D’ailleurs, cette dernière se serait-elle opposée avec autant de force à l’obtention du permis de construire d’une certaine très belle et très grande villa, dans un écrin de nature sauvage, dans la Drôme ? Faites ce que je dis, pas ce que je fais. Heureusement que les opposants de Saint Pierre de Colombier ne se renseignent pas trop sur leur héroïne…
Quoi de plus facile que de donner un ordre à une préfète qui n’a pas d’autre choix de s’exécuter, quelles que soient ses certitudes (il se dit qu’elle est consciente de commettre une grave injustice), pour satisfaire un électorat communiste et écologiste. Peut-être prépare-t-elle l’après Macron où elle reviendra toute penaude quémander un strapontin chez EELV. La vie de ministre ne dure qu’un temps…
Et derrière des arguments écologistes fallacieux, il y a la haine des chrétiens tournée en obsession. Voici des photos prises sur place :
Derrière des arguments écologistes dévoyés, il y a un dossier solide et légal attesté par un permis de construire légalement obtenu fin 2018 :
Cette décision, qui fait suite, selon plusieurs sources, à une intervention du ministère de la transition écologique, contredit de façon évidente les précédentes déclarations de la préfecture attestant le sérieux de l’instruction de notre dossier. En ce sens, elle est une décision purement politique, et nous la contestons.
À quoi ont servi les rencontres du groupe technique mis en place par la préfecture depuis le mois de juillet ? Les conclusions et le cahier des charges élaboré ne sont pas pris en compte par cette décision (…) Enfin, cette décision va à l’encontre de l’État de droit, et pénalise les personnes qui respectent le droit de la République Française. En ce sens, elle n’est pas de bon augure pour l’Ardèche et pour notre territoire.[Extrait du communiqué de la FMND, porteur du projet]
[Source]
Derrière des arguments écologistes répétés à l’infini se dessine le monde d’après : une alliance entre EELV, les communistes et l’extrême-gauche la plus radicale et intolérante qui imposera ses vues dans les campagnes après avoir interdit les sapins de Noël, les voitures, les cirques et le tour de France dans les villes, tout en draguant de manière honteuse l’électorat musulman qui, lui, aura le droit à ses mosquées “cathédrales” dans les grandes villes :
Nous constatons que l’Etat veut à tout prix, y compris en commettant une grave injustice, éviter une nouvelle occupation illégale (ZAD) à l’heure où celles-ci se multiplient en France (Le Carnet, Dijon, Roybon, Entraigues-sur-la-Sorgue, Bure, Lolbsheim…). De nombreux indices connus des services de l’Etat montraient que cette occupation illégale était imminente et dans l’attente d’une reprise des travaux. L’Etat pense acheter ainsi une année de paix sociale.
La gauche écologiste et communiste s’est fortement impliquée sur ce dossier pour des motivations éloignées de la défense de l’environnement : les écologistes régionaux, conduits par Michèle Rivasi, entendent peser de plus en plus sur les dossiers qui concernent les territoires et François Jacquart cherche à s’imposer auprès de l’électorat écolo-communiste en vue des élections régionales (…)
Nous sommes indignés de constater que l’Etat a reculé devant une minorité d’agitateurs radicaux, qui ont utilisé des méthodes malhonnêtes pour atteindre leurs objectifs.
Nous alertons les habitants de Saint Pierre de Colombier et les élus de l’Ardèche de tous bords et attachés au bien commun et à la ruralité, sur le risque de voir le militantisme radical prendre de l’ampleur.
Saint Pierre de Colombier est devenu, dans les faits, un laboratoire sur lequel ces groupes radicaux vont s’appuyer pour imposer leur vision d’une société opposée au développement économique.
Si les élus locaux, les acteurs économiques et la majorité silencieuse favorables au projet ne réagissent pas rapidement, les territoires ruraux risquent de souffrir encore davantage dans les années à venir.. [Extrait du communiqué du collectif défendant le projet] ([Source])
Source Le Salon Beige