Évidemment, Manuel Valls, parce qu’il sait que les mouvements nationalistes sont ses adversaires, les traite avec mépris, et tente de les disqualifier en leur apposant de vilains épithètes. Évoquant ainsi la présence d’extrémistes à la manifestation du 24 mars, il cite le Renouveau français, les jeunesses nationalistes, le Gud, ou encore le Bloc identitaire. Visualisez, notamment à partir de 3’30 :