Laurent Glauzy vient de sortir un nouveau livre, intitulé « Le mystère de l’Île de Pâques à la lumière du créationnisme » (description ci-dessous).
Il le dédicacera ainsi que ses autres ouvrages ce samedi 25 mars à la Librairie française (Paris XVe), de 16h à 18h.
160 p. + cahier photos 16 p., 19 €, disponible ici.
4e de couverture :
« Quel est donc ce mystère lié à l’île de Pâques que veulent nous cacher les élites occultes et supra-maçonniques ? Quand furent construits les moaï ? Pourquoi la pierre qui compose ces statues est-elle si dure qu’il faudrait, selon le Dr Clifford A. Wilson, archéologue et psycholinguiste australien, une année entière à six hommes pour en sculpter la seule tête ?
Dans ces pages inédites, Laurent Glauzy fournit des explications tout aussi logiques qu’inattendues sur l’histoire de la Terre, notamment à partir des visions de la sainte allemande du XIIe siècle Hildegarde de Bingen, qui se recoupent parfaitement avec la Bible et avec les arguments du géologue américain, le Dr Andrew A. Snelling.
L’auteur expose pourquoi l’île de Pâques – située sur l’axe Gizeh, Nazca, Machu Picchu – dissimulerait des pyramides enterrées, comme le pensait déjà le capitaine Felipe González y Haedo, en 1771. Cette théorie fut soutenue dans les années 1960 par Louis-Claude Vincent, ancien professeur à l’École d’Anthropologie de Paris et membre de la Société des océanistes. Le célèbre Smithsonian Institute, institution américaine de recherche scientifique, avait mené une expédition sur l’île de Pâques en 1886 et produit le croquis d’une pyramide faite de pierres taillées.
Cet ouvrage permet également de résoudre l’énigme posée par des moaï aujourd’hui immergés sous les eaux du Pacifique. Il prouve que l’existence de statues enfouies a été présentée de façon mensongère comme une « découverte » en 2010, alors que ce fait était connu depuis 1913 ! Il en est de même pour les écritures pascuanes qui, d’après la vulgate officielle et darwiniste, seraient demeurées indéchiffrables. Or, au XIXe siècle, les travaux de Mgr Tepano Jaussen et au XXe siècle ceux de Fernand Crombette, linguiste ayant étudié les hiéroglyphes à l’aide du copte ancien, établissent le contraire. De plus, ces écritures revêtent un aspect magique… »