Un bon livre donne à penser, dans le sillage qu’il vient de tracer.
C’est le cas du dernier ouvrage de Paul-François Paoli (L’imposture du vivre-ensemble de A à Z, disponible ici) dont le ton montre à soi seul que ce dictionnaire est aussi un essai, parfois proche du pamphlet même si l’auteur s’en défend et s’emploie à garder la mesure sans quoi son propos ne serait pas convaincant. Or il l’est, et la question se pose en effet: comment en est-on arrivé à ce que le geste le plus fédérateur grâce auquel les hommes sont parvenus à subsister, prenne aujourd’hui la tournure d’une fadaise sentencieuse visant à recoller coûte que coûte les morceaux d’un tissu social qui s’effrite? Oui, comment cela s’est-il passé pour que cette expression en soi fondatrice désigne aujourd’hui une forme de «partage» vague et émotionnel, puisque tel est le nouvel œcuménisme censé sauver les sociétés européennes d’un désastre prévisible ?
que les Français prennent modèle sur les hébreux;
ils sont restés une nation pendant 18 siècles , alors qu’ils n’ avaient plus de terre;
quand ils furent assez forts, ils reprirent possession de la Terre Promise, en chassèrent les indigènes;
ils en firent un sanctuaire , entouré de hautes barrières, réservé à la Race élue, où le métissage racial, culturel , religieux sont interdits.
en même temps , la Licra ordonne aux Français de se métisser , qu’ils ouvrent leurs frontières aux barbares venus des quatre vents, qu’ils se ruinent à les entretenir, afin que la Nation française soit détruite.
les Français doivent être privés de leur Mémoire , de leur histoire, de leur identité.