Georges-Marc Benamou est un producteur de cinéma, « journaliste » et éditorialiste.
Dans une émission, invité avec Julien Odoul (jeune représentant du Rassemblement national guère « politiquement incorrect »), il fait une crise d’hystérie et devient agressif et odieux. Pourquoi ?
Julien Odoul lui a dit qu’il faisait partie de « l’élite ».
Inhumain, non ?!
En tout cas Benamou ne le supporte pas, il parle – pour le contredire – de son grand-père qui était d’un milieu simple (on ne voit pas bien le rapport), et il finit par dire que dans la tête de son interlocuteur, élite signifie « juif », et que c’est donc de l’antisémitisme…
Pourtant, par son comportement pathologique, Benamou apporte de l’eau au moulin des chercheurs (tels Hervé Ryssen) qui signalent une forte tendance à l’hystérie chez certaines populations.
Quoiqu’il en soit, avec l’aide de wikipedia, jugez vous-même si ce Georges-Marc Benamou fait partie de l’élite (l’élite de fait, pas l’élite morale ou intellectuelle…) ou non. Le gras est de nous :
Né en 1957, il milita avec SOS-Racisme contre la France française, puis, comme d’autres, s’engagea du côté des neocons pour l’attaque de l’Irak.
« Aidé par Pierre Bergé, PDG d’Yves Saint Laurent, proche de François Mitterrand et mécène, et de Bernard-Henri Lévy, il fonde, en novembre 1985, le magazine mensuel Globe, un journal de gauche [ouvertement cosmopolite]. […]
Par l’entremise de Pierre Bergé, Georges-Marc Benamou rencontre souvent le président de la République François Mitterrand dont il devient un proche. […]
En 1995, il est conseiller à la direction de l’information de France 2, avant d’être nommé par Jean-Luc Lagardère, directeur de la rédaction de l’hebdomadaire L’Événement du jeudi en 1997. […]
Dans les années 2000, il est éditorialiste à Nice-Matin, à La Provence et à Europe 1. Il crée également une société de production pour le cinéma et la télévision, « Siècle production ». […]
Membre de l’équipe de campagne de Nicolas Sarkozy pour l’élection présidentielle de 2007, Georges-Marc Benamou est nommé le 18 mai 2007 conseiller pour la culture et l’audiovisuel auprès du nouveau président, et devient un ministre de la culture bis.
Intime de Nicolas Sarkozy, il organise pour lui des rencontres avec les intellectuels, et travaille sur les dossiers culturels et audiovisuels. »
Si ce n’est pas faire partie de l’élite, qu’est-ce que c’est ?
En tout cas le comportement fort peu français de cet homme est aussi odieux que ses idées.