C’est Libération (via LSB) qui constate :
« A Paris, la situation est préoccupante, pour ne pas dire mauvaise: l’épidémie y est cinq fois plus élevée que la moyenne française et deux fois plus que dans le reste de l’Ile-de-France. Les cas parisiens représentent un cinquième du chiffre pour toute la France, alors que les Parisiens représentent un peu plus de 3% de la population. Ce sont plus d’un millier de nouvelles contaminations par an. Et à Paris encore, l’épidémie y est très particulière, fortement concentrée – à près de 90% – dans deux groupes : les hommes ayant des rapports sexuels entre hommes (52%) et les migrants, principalement de pays à forte prévalence (38%). Enfin, géographiquement, l’épidémie est surtout forte dans les quartiers centraux (Ier à IVe arrondissements) et dans le nord-est (Xe, XIe, XVIIIe, XIXe et XXe arrondissements) mais aussi dans le XIIIe. »
Une conséquence de la Gay Pride et de toutes les incitations à la débauche ?