Le temple d’Ankor, au Cambodge, constitue une véritable énigme pour les évolutionnistes : une pierre montre le dessin d’un stégosaure. Ainsi, ces vestiges de l’ancienne capitale de l’empire Khmer qui existât du IXe au XVe siècle apporterait crédit aux récits de la Bible. Dans Job 40, 10, les saintes Ecritures relatent que les hommes auraient côtoyé les dinosaures.
Pour ne pas perdre la face, les athéistes affirment que cette œuvre fut conçue à partir de fossiles. Les sculpteurs du temple auraient ainsi imaginé et dessiné un stégosaure. Une telle reproduction aurait nécessité sans aucun doute un grand savoir-faire permettant de recomposer à partir de fossiles et avec précision, une sculpture ressemblant à un dinosaure. Alors, cette reproduction de dinosaure précèderait les reconstructions modernes de fossiles ! De plus, à ce jour, aucun fossile de stégosaure n’a été répertorié au Cambodge. Ce schéma semble donc très improbable. Le temple d’Angkor démontre que les dinosaures n’ont pas été reconstitués à partir de fossiles et d’ossements, mais en se fondant sur une expérience réelle, véritable source inspiratrice de la sculpture.
Les évolutionnistes affirment que les plaques supposées sur le dos du stégosaure ne sont que des symboles décoratifs. La sculpture ne serait qu’une sorte d’animal, mais ressemblant tout de même à une espèce disparue. Les plaques disposées sur le dos de l’animal suivent précisément sa ligne courbée, et leur forme est similaire aux plaques des stégosaures que l’on connait.
Des observateurs pensent que la sculpture ne représente pas un stégosaure typique. Pourtant, lors de conférences organisées dans le monde entier, l’auditoire répond dans sa grande majorité que le dessin d’Angkor montre uniquement un stégosaure.
Le sculpteur a pris soin de tailler le stégosaure se tenant sur le bout de ses pates. Ce détail très pointu est d’autant plus frappant que les paléontologistes attestent aujourd’hui que ce dinosaure se déplaçait de cette manière, et non avec les doigts écartés comme les musées d’histoire naturelle l’exposaient de manière erronée.
Le temple d’Angkor ne présente en outre que des animaux réels. Cela signifie que dans le cas du stégosaure, l’artiste aurait fait exception en sculptant un animal imaginaire dont la précision sur le mode de déplacement a devancé nos connaissances pendant plusieurs siècles.
Une autre question se pose : les paléontologistes ont constaté que des épines manquaient sur la queue de l’animal. Il existe plusieurs variations de stégosaures différenciés par leur taille et le nombre de pointes sur la queue. De plus, la tête figurant sur la reproduction du temple d’Angkor est différente des reconstructions opérées maintenant à partir de fossiles de stégosaures. Le fait que la créature ne corresponde pas exactement aux contrefaçons contemporaines, signifierait que la reproduction du temple d’Angkor serait celle d’un fossile que les paléontologues n’auraient ni découvert et encore moins répertorié. Cette sculpture serait donc une découverte à part entière, en avance sur nos connaissances de la faune de la prétendue préhistoire.
La vérité est que les dinosaures n’ont pas disparu, il y a 70 millions d’années. Le site de Glen Rose au Texas, entre autres, sur de mêmes plaques, montre des empreintes de pied de dinosaures et d’hommes. Car la Terre n’a pas 4 milliards d’années mais bien 6000 ans comme l’atteste les Écritures et l’accrédite le temple d’Angkor.
Laurent Glauzy
Laurent Glauzy est l’auteur de :
Témoins de Jéhovah, les missionnaires de Satan
Illuminati. « De l’industrie du Rock à Walt Disney : les arcanes du satanisme ».
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