Même le magazine Capital est effaré, et propose une intéressante enquête sur ce géant de la grande distribution. Leclerc incarne bien les travers du modèle capitaliste libéral (et aussi du socialisme) que nous avons.
« Entre le distributeur et ses fournisseurs, les négociations commerciales ont toujours été tendues. Les perquisitions menées cette semaine par la répression des fraudes au siège des centres E. Leclerc démontrent à nouveau que la pression ne faiblit pas. Décryptage des méthodes de l’enseigne pour faire accepter aux agriculteurs et aux industriels les tarifs les plus bas.
« Ce ne sont pas les hypermarchés qui font la loi en France, c’est le gouvernement », tel est le message qu’a voulu faire passer la DGCCRF en menant des perquisitions mardi et mercredi au siège des centres E. Leclerc à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne). Cette action des agents de la représsion des fraudes s’inscrit dans le cadre des contrôles mis en place lors des négociations commerciales annuelles entre industriels et distributeurs. La DGCCRF cherche ainsi à débusquer les pratiques abusives imposées par les supermarchés à leurs fournisseurs. Il est vrai que pour faire accepter aux fournisseurs les tarifs les plus bas, l’enseigne dirigée par Michel-Edouard Leclerc ne se fait pas prier. Zoom sur ces méthodes… controversées. »
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