Tous les gamelards de l’antiracisme rencontraient aujourd’hui le premier ministre suite à l’affaire Théo. SOS Racisme, la Ligue des droits de l’homme et la Licra étaient rassemblés pour réclamer des mesures d’encadrement des contrôles et aussi un peu d’argent… En effet, les représentants de la LICRA et de SOS Racisme désirent dispenser des formations (sic!) aux policiers et aux gendarmes pour empêcher de nouvelles bavures racistes.
En plus des mammouths de l’antiracisme subventionné, il y avait aussi des représentants d’associations « des quartiers ». Et voici ce que raconte la présidente de l’association Femmes Relais d’Aulnay-sous-Bois, Aïssa Sago. « Les grandes associations qu’on ne voit qu’à la télé ont pris la parole et l’ont monopolisée. Donc aujourd’hui, on repart un petit peu frustré. Beaucoup de personnes m’ont dit des choses que je n’ai pas pu dire ici ».
C’est donc aux professionnels de l’antiracisme de récupérer la médiatisation et les ronds.
Pour les autres, « Circulez y’a rien à voir »