La politique de remplacement de population voulue par le gouvernement français s’accélère. Manuel Valls, lui-même de nationalité espagnole et naturalisé sur le tard, l’a assuré hier.
Le campement, « c’était une image de la France que je ne veux pas voir : des hommes, des femmes et des enfants vivant dans des conditions indignes. Les accueillir, leur donner le droit d’asile, et demain ils seront Français », a-t-il dit en clôturant une cérémonie de remise de prix de la laïcité à la mairie de Paris. « Demain, ils parleront français, demain ils porteront nos valeurs. Demain certains seront députés, membres du gouvernement », a-t-il déclaré sans rire en défendant « le droit d’asile, le droit de protection ».