Il faut savoir écouter quelques mondialistes pour anticiper l’avenir, Jacques Attali nous demande de bien profiter de notre mois de juillet : « Mais il faut savoir regarder un peu en dehors des salles de théâtre et des cours de châteaux. Et la présence digne de mendiants, de plus en plus nombreux, au voisinage des entrées des festivals, nous dit aussi la misère de ceux qui n’y auront jamais accès ; et, plus largement, elle nous rappelle la pauvreté de la moitié des Français qui ne pourront pas , cette année, prendre des vacances.
La sérénité des festivals ne doit pas non plus nous faire oublier que, pendant ce temps, le chômage ne se réduit pas, nos dettes s’accumulent, notre commerce extérieur plonge et l’insécurité continue de gagner du terrain.
Savourons donc ce mois de juillet, dernier moment de pause avant que ne commence une année essentielle pour l’avenir du pays. Elle sera peut etre nauséabonde, comme le laissent craindre les ragots et les faits divers dont se repaissent les uns et les autres. Elle sera sûrement intense et commencera dès le mois d’août : au plus tard avec les universités d’été des partis politiques ; au plus tôt avec une nouvelle dégradation de la situation financière mondiale, plus fragile que jamais. »
De ce qui s’y passera après cette rentrée politique dépendra le fait de savoir si Juillet 2011 restera comme un ultime moment de bonheur, dont nous aurons longtemps la nostalgie, ou si au contraire nous saurons faire en sorte que Juillet 2012 soit plus heureux encore…
D’ici là, profitons de chaque instant. »
Si un natio le rencontre par hasard seul dans une gare à Lyon ou ailleurs comme Soral, qu’il fasse un peu plus qu’une photo souvenir, qu’il lui réserve le traitement que les cpf font subir aux nôtres habituellement dans une gare…
pour une fois , je crains que le Jacquot soit dans le vrai !!
le + grand humoriste
Il a découvert que le feu brûlait, choses que certains savent depuis longtemps, comme leurs cicatrices en témoignent.
Quel toupet!!!Bien d’accord avec vous S10! cette tête de faux-jeton on la verrais avec grand plaisir au bout d’un bâton.
C’est beau comme de l’eau de rose…
Quant à la faillite du système, rappelons que c’est celui de son système et de ses co-religionnaires (lui ex-président de la BERD et qui de surcroît a toujours soutenu l’organisation financière mondiale actuelle).
Si l’on avait suivi les prescriptions des économistes nationalistes, nous n’en serions pas là (Déjà, l’euro n’existerait même pas).
Ne vous inquiètez pas pour Attali; il a un passeport Israelien en cas de problème on peut compter sur lui…
« Les cons, ça ose tout ; c’est d’ailleurs à cela qu’on les reconnaît. » (Audiard).
Il y a chez Jacques Attali une absence totale de pudeur sachant que la structure dominante n’est autre que celle qu’il a toujours promue. En ce sens, les dyxfonctionnements de l’actuel système en place ne sont que des conséquences directes de la pensée attalienne. Il n’est pas impossible que le personnage dans cet article fasse l’apologie de la gauche, présentée comme seule alternative, en ayant bien en tête que Martine Aubry vient de nous promettre – sans rire – que le changement aurait lieu en cas de victoire. Puisque la gauche n’est plus que l’ombre d’elle-même depuis qu’elle s’est convertie au capitalisme international, et cela fait maintenant des lustres, nous n’avons, nous ainsi que les Français rien n’a attendre d’une gauche qui n’est, somme toute, que l’équipe remplaçante de la droite, et qui si elle revenait au pouvoir, pratiquerait le même jeu.
Contrairement à ce qu’affirme Jacques attali, il ne se passera rien d’extraordinaire en 2011-2012, si ce n’est une amplification des mensonges dont on sait qu’ils atteignent leur apogée, justement dans le cadre des processus électoraux. C’est en revanche, une fois l’élection présidentielle terminée et le nouveau gouvernement installé, que les Français auront à souffrir des mesures prises au profit de structures dont les motivations sont tout sauf nationales.
On va alors particulièrement souffrir…
Il y a aussi « si on mettait les cons sur orbite, t’aurais pas fini de tourner ! »
Mais bon, de toute façon, Attila n’a jamais rien écrit lui-même, il a encore copié ça sur quelqu’un…