Les députés européens ont ignoré les appels à l’austérité imposée par la crise et se sont alloués, il y a quelques semaines, une augmentation de 1 500 euros par mois de leurs budgets de frais d’assistants. Les députés européens ont une rémunération mensuelle de 7.956,87 euros avant impôts et bénéficient d’une enveloppe mensuelle de 19.709 euros pour rémunérer leurs assistants. C’est cette enveloppe qu’ils viennent d’augmenter à 21.209 euros. Avec ce vote, les dépenses du Parlement européen augmenteront de 13,2 millions par an.
ESCROCS! ESCROCS! ESCROCS! ESCROCS!
C’est le prix de leur conscience politique…ça ne vaut pas grand chose, finalement…
comprenant que l’UE vacille et que leur pouvoir va par conséquence être supprimé, ils essaient d’en grappiller toujours plus avant la dissolution prochaine de cette structure européiste.
le seul avantage de faire partie du « Parlement » dit « européen », c’est de pouvoir entendre et voir ce qui se passe et ce qui se dit. c’est donc une raison dissuasive vis-à-vis des collabos : ils ne peuvent pas tous se permettre lorsqu’un ou plusieurs députés pro français est présent. cela permet de limiter l’opacité déjà sombre qui règne dans ces parloirs sans pouvoir !
de toutes façons ce château de cartes d’escrocs va s’écrouler.
Quand on voit que contre l’avis des peuples ils sont en train de pactiser avec Erdogan pour faire entrer la turquie dans l’UE, cela porte un nom, une dictature et comme toutes les dictatures, elle perdra son pouvoir par une grande révolution des peuples
Je prie pour que l’Europe se libère de ses chaines et que nous puissions pourchasser ces salauds afin que leur infliger de justes châtiments …
Quelqu’un connaît une bonne corderie ?
Ces escrocs sont cyniques. En taule, et vite.
Ils font le plein avant la débâcle.
Il parait que Marine Le Pen refuse de se sucrer sur cette combine d' »assistants » et aucun autre parti politique ne c’est dispensé d’empocher sur ce fromage ,selon les comptes verifiés des députés européens tous profiteurs de ces prébendes supplémentaires aux frais des contribuables .
6 février 1934
« a bas les voleurs »