Marie Reynier, recteur de l’académie d’Orléans-Tours, fait le constat du faible niveau scolaire des immigrés et de leurs enfants.
« Si on enlève des statistiques les enfants issus de l’immigration, nos résultats ne sont pas si mauvais ni si différents de ceux des pays européens. Nous avons beaucoup d’enfants de l’immigration et devons reconnaître notre difficulté à les intégrer. »
Tout un chacun pouvait s’en douter pour plusieurs raisons :
– il est difficile d’avoir de bonnes notes quand on ne parle pas la langue ;
– quand les parents ne peuvent pas aider, car eux-même ne comprennent pas de quoi il s’agit (mauvaise maîtrise de la langue, illetrisme, absence de scolarisation antérieure) ;
– ceci sans parler d’évantuelles raisons biologiques liées à la race, étudiées sérieusement depuis quelques années outre-atlantique (revoir cette vidéo)
Les idéologues de tout poil n’ont pourtant pas manquer de crier au scandale, dénonçant des propos « à tendance xénophobe ». Le recteur a du faire valoir son joker : elle est elle même immigrée arrivée en France à 8 ans. Elle ne cherche qu’à intégrer et à permettre que l’on découvre « de nouveaux talents » parmi ces populations.
Ouf! Nous avons eu chaud, la morale républicaine est sauve!
Ce que vous omettez, et vue l’orientation politique du site cela ne m’étonne pas, c’est que les enfants d’immigrés réussissent moins bien à l’école ce n’est pas parce qu’ils sont d’orgine immigrée mais bien parce que leur origine sociale est très largement populaire, beaucoup plus en tout cas que le reste de la population française. En effet, à origines sociales égales, ce sont même les enfants d’immigrés qui réussissent mieux que les « vrais » français pure souche. Ceci est appuyé par des études quantitatives très sérieuses de sociologues. Enfin, ce qui explique cette meilleure réussite des enfants d’immigrés est à chercher dans la valeur et la légitimité que les parents donne à notre institution républicaine. Mais bien sur, de telles informations n’apparaissent pas dans votre article car elles remetttraient en cause l’idée selon laquelle ce serait un problème d’intégraion culturelle (langue, représentations de l’école …) qui serait à l’origine de ce retard alors même que c’est un défaut d’intégration économique et sociale qui en est la véritable cause. Avant de prendre n’importe quelle information/déclaration au pied de la lettre sous prétexte qu’elle appuie vos idées politique faites un minimum de recherches (sérieuses et scientifiques) sous peine d’être encore plus discrédité.
Et oui et c est pour cela que les immigrés de fraiche date au état unis sont mis dans des classes a part…mais bon en France cela s’appelle du racisme c’est a dire l’apartheid ou plus précisement le développement séparé.
L’article porte sur une expérience dans le milieu scolaire, c’est à dire sur le terrain et non du blabla idéologique universitaire de gauche.
Au fait quid de l’ouverture de Science Po aux immigrés? Tu nous expliques cet échec avec ton idéologie à la noix?
Ta réflexion Victor elle date d’il y a 15 ans quand les filles originaires du Maghreb étaient encore un modèle d’intégration. Ce n’est plus le cas aujourd’hui, les enseignants qui eux sont au contact des réalités s’accordent pour le dire et ce quel que soit leur orientation politique.
@Victor… Pourquoi les gens que vous définissez comme réussissant mieux que les Français de souche ne retournent-ils pas chez eux. Je ne vous dis pas cela méchamment, mais uniquement parce qu’ils donneraient du travail à leurs propres compatriotes. Ce qui, dans le fond, serait logique. … Il faut laisser les PVD se développer, et, dès lors, qu’ils puissent eux-mêmes trouver des grosses têtes. Que serait-il passer en France si nous n’avions pas eu les Peugeot, Citroën, et tant d’autres ?
Au lieu de ça, en France, on est obligé de créer la « discrimination positive ». Vous ne trouvez pas cela bizarre ?
@Victor
Les Italiens, Serbes, Arméniens, Russes, Polonais, Portugais, Grecs…avaient eux aussi une origine sociale pas forcéement élevée.
Ce qui n’empêchait pas leurs enfants de réussir et de devenir qui Henri Verneuil ou qui Vladimir Volkoff.
Et rayon « intégration », ils n’avaient pas le dixième des aides qui sont données de nos jours aux immigrés turcs ou maghrébins. Il faudra que vos « sociologues » expliquent cela.
En l’occurence, il est bizarre que vous rejetiez une étude faite sur le terrain, mais que vous soyez prêt à accepter n’importe quelle spéculation de « sociologue » qui, pour la pluparrt n’ont aucune expérience dudit terrain.
Le dernier sociologue que j´ai connus s´appellait rozenfeld … et dans le milieu , les zélus sont tres repésentés aussi , des qu´il s´agit de tromper le goy avec des chiffres á la noix !!!
Les chinois réussissent mieux…on se demande bien pourquoi les gris et les blacks n’en font pas autant! mais il faut dire que dans la catégorie des « foulamerde » ils sont champions! de la graine de prix Nobel!
Une année j’étais dans une des classes les plus épargnées par la présence invasive de certaines populations. On était une trentaine, en majorité blancs, propres et bien éduqués. Sur cette trentaine on avait quatre allogènes, 3 mâles pour insulter et être insolent avec les profs, et une femelle pour les soutenir. Pendant neuf mois, toute la classe a avancé dans le programme à un rythme au ralenti à cause de ces quatre représentants du tier monde (avec le brevet en fin d’année mais ça c’était pas leur problème ).
Alors Messieurs les sociologues, vos rapports vous pouvez me les écrire sur du papier toilette.
UERSS
Et dans l’école « à l’ancienne » que j’ai connue, le Prof -même coco- aurait baffé copieusement les perturbateurs, le Directeur l’aurait soutenu, les parents eussent été convoqués et leurs petits merdeux punis (heures de colle) au besoin virés temporairement ou définitivement… il faut dire qu’à l’époque les enseignants cocos tendance stal était pour la discipline… le bordel viendra plus tard, après mai 68…avec les gaucho-trotskos.
Victor ne cite aucune source, c’est un contre-raciste.
@ Le HURON
Merci pour votre témoignage. Je pense que vos anciens professeurs aurait eu un travail de titan à fournir, au vu des bottages de c.. qui se perdent dans les classes difficiles.
@ Tchetnik : le système éducatif français a permis l’émergence de personnes comme Senghor ou Aimé Cesaire (encore une fois, tu sais à merveille oublier ce qui te gêne). Je te laisse dire que ce ne sont pas vraiment des immigrés donc que c’est pas comparable et gnagnagna. S’il y a bien une « erreur » au sens où vous l’entendez qu’a commis la France c’est de vouloir permettre à certaines personnes issues de milieux colonisés d’étudier en France. Elles ont pu ensuite défendre leurs idées politiques de façon plus cohérente grâce à cet enseignement. Les élites dont tu mets en avant l’absence sur le territoire de la France se retrouvent dans d’autres endroits. S’il est clair que les jeunes issus de l’immigration ont de moins bon résultats cela a un lien certain avec le milieu socio-économique dont ils viennent qui est souvent inférieur à la moyenne. La reproduction sociale des élites est un concept qui est connu de tous ici j’espère et qui s’applique parfaitement dans le cas présent. Alors oui, il existe des exceptions donc inutile de citer 2 ou 3 cas, ça ne fait pas une généralité. Un fils d’énarque aura toujours plus de possibilités de rentrer à l’ENA qu’un fils d’ouvrier, n’en déplaise aux idéalistes croyant à la méritocratie républicaine.
« Défendre leurs idées politiques de façon plus cohérentes »
En crachant dans la soupe, ce qui n’est pas très cohérent. Mais tu aurais pu aussi parler de Ghandi, de Milton Obote, ou de Jomo Kenyatta…Comme tu vois, on connait l’Histoire.
En l’occurence cela ne prouve qu’une chose, que les systèmes des pays Européens étaient bien meilleurs que ceux des anciens colonisateurs.
Pour le reste, tu te contenteras de faire un petit tour dans les écoles pour comprendre que le système dont tu palres date d’il y a 50 ans, quand il comportait une part de morale et d’exigences qui ont bien été oubliées depuis.
« Les élites se retrouvent en d’autres endroits » Il faudra nous dire où…
Pour l’éternelle excuse du « milieu socio-économique », se référer encore une fois à tous ces immigrés Grecs et Arméniens qui n,avaient que leurs vêtements sur le dos quand ils ont débarqué de leurs génocides respectifs 9coomis par qui tu sais) et dont les enfants ont réussi au delà de toute attente, sans allocs ni RMI.
Du fait concret, vérifiable et en nombre.