Bienvenue dans la « France d’après », où le laïcisme et l’égalitarisme républicain s’accommodent bien du Grand Remplacement.
« Dans une note interne adressée à des policiers drômois, une organisation spécifique de leurs interventions dans un quartier a été précisée. Les raisons ? Les violences urbaines mais aussi… « la période du Ramadan ». La direction indique qu’il s’agit d’une maladresse.
« Vu les récents épisodes de violences urbaines dans le quartier et l’arrivée de la période du Ramadan du 13 avril au 11 mai 2021, les missions non urgentes […] doivent être reportées en journée. »
C’est ce qui est indiqué dans une note interne, datée du 7 avril et à destination de policiers drômois. Un document dont Le Dauphiné libéré a pu prendre connaissance. « En gros, si quelqu’un s’est fait cambrioler et compose le 17 pour qu’on vienne chez lui, on doit attendre le lendemain pour nous rendre sur place… », déplore un policier qui a souhaité conserver l’anonymat.
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Avant d’ajouter : « Ce que parfois nous constatons, c’est que le jeûne et les mesures de Covid peuvent, chez certains individus, entraîner une fatigue physique et psychologue et, au final, engendrer de l’énervement et des tensions chez certaines personnes, notamment lors des interventions de police. Cette note voulait simplement attirer l’attention sur cette situation. » (source : Le Dauphiné)