Le Figaro aura passé ces derniers mois à médire de Trump et à insinuer pis que pendre à son propos.
Le quotidien de centre-gauche aura participé au grand concert des médias français contre le président américain sortant, moins grossièrement que le Monde ou BFM, certes, mais continûment.
On ne voit pas bien ce que Le Figaro a à reprocher au populiste Trump, loin d’être parfait mais qui a eu le mérite de ne pas déclencher de guerre pour exporter la démocratie ou contenter l’Etat profond – contrairement à ses prédécesseurs (voir ici) – et dont le bilan économique (hors Covid) est flatteur du point de vue américain. Est-ce parce qu’il n’est pas assez favorable à l’avortement volontaire ? Pas assez friand de submersion migratoire et de mondialisme ? Ou pour d’autres motifs cachés ?
Les journalistes du Figaro auront même tenté d’influencer les électeurs en Amérique !
En voici un qui, interrogeant un Noir à Las Vegas, essaie de jouer la carte « Trump raciste », ce qui est grotesque :
Une mention spéciale pour Eugénie Bastié, que d’aucuns – cathos naïfs – voient comme un jeune espoir de la « droite » et qui s’en prend grossièrement au président américain le moins hypocrite de ces derniers siècles :
Ce charabia enflé, visant à se donner des airs d’intellectuelle, cache une méconnaissance la réalité politique américaine et un militantisme politiquement correct effarants…