Nicolas Dupont-Aignan dévoilait des SMS de pression de Serge Bloch-Dassault, propriétaire du Figaro :
« – Le boycott de mon journal n’est que la conséquence de ton attitude contre Fillon et ce n’est pas restant dans ton coin que tu y arriveras mais en étant dans une équipe gouvernementale. Il vaut mieux manger une soupe que du pain rassis.
– Je suis scandalisé que tu assumes ce boycott.
– Cela n’arrivera plus quand tu cesseras de combattre Fillon.
– C’est de la censure.
– Si tu changes d’avis, il n’y aura plus de censure, je te le promets. »
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