The Telegraph affirme qu’en 1999, les services secrets français ont sérieusement envisagé d’assassiner le leader islamiste Abu Hamza, résidant à Londres.
Ils avaient prévu d’envoyer d’abord à Abu Hamza des messages de menaces de mort, signé du groupe néo-nazi « Combat 18 » (impliqué dans des actions violentes), puis de l’abattre à l’aide d’armes réputées celles de Combat 18.
Selon le journal, l’idée était de porter un coup à l’islam radical (qui a toujours été à Londres comme dans une tranquille base arrière, ce qui fut un cas de litige entre les gouvernements français et anglais), et de faire porter le chapeau à l’« extrême-droite » (tout le monde confondu, comme le permet ce terme fourre-tout).
D’une pierre deux coups, avec cette méthode aussi vicieuse que classique…
Finalement le gouvernement français a laissé tomber son plan, pour des motifs non connus.