Depuis quelques semaines, l’esplanade des Invalides, à Paris, est devenu le lieu de soirées festives organisées de façon un peu sauvage, presque clandestine au début (ce qui leur donnait du charme, aux yeux des jeunes Français frustrés par des mois de restrictions parfois délirantes) : des milliers de jeunes Français s’y retrouvent pour s’amuser de façon plus ou moins sage selon les groupes.
Mais voilà, dans la « France d’après », ça ne peut pas se passer ainsi.
Si ce n’est pas la police qui vient les déloger brutalement, ce sont des hordes de racailles immigrées qui déferlent de banlieue pour assouvir leur soif de violence, leur haine et leur goût du vol. Les jeunes Français héritent des choix honteux des générations précédentes qui ont, dans leur majorité, laissé la France se faire envahir.
« Des ados jetés à terre et tabassés par des grappes de petites frappes, parfois pour un simple regard, des vols avec violence à la chaîne et même des attouchements sur de toutes jeunes femmes… La soirée lycéenne totalement improvisée des Invalides, à Paris, le 18 juin dernier, a été le théâtre de ce que la police qualifie d’«actes de prédation».
Les vidéos filmées sur le vif par les participants au rassemblement et diffusées instantanément sur les réseaux sociaux ont servi de chambre d’écho à ces phénomènes de violence urbaine. Ainsi, des groupes de voyous un brin stéréotypés se sont invités à la soirée Projet X des lycéens des environs. […] » (source)
Les fonctionnaires de police interrogés par le Figaro ne brillent pas par l’intelligence et le courage de leur propos. L’un ironise sur les « fils de famille » bourgeois qui se retrouvent confrontés aux « durs » de banlieue (alors que ces racailles sont violentes en meute mais la plupart sont lâches en plus de n’avoir pas de sens moral : ce n’est pas ça être « un dur ») – très amusant ces délits contre des petits Blancs, en effet, non ? – tandis qu’un « membre actif de l’Association des hauts fonctionnaires de la police nationale (AHFPN) » (donc probablement franc-maçon?) affirme : « La police peut difficilement cerner et contenir ce genre de dérives, qui sont vraiment le fruit de l’époque, de cette convergence inopinée, du fait des réseaux sociaux, entre des milieux qui d’ordinaire ne se mélangent pas. »
« Fruit de l’époque », « inopiné »… Non, vraiment il ne voit pas quel phénomène a pu se produire en France ces dernières décennies et créé cette insécurité générale…