Du moins c’est ce qu’essaye de nous faire croire Louis-Georges Tin, fondateur de la « Journée mondiale contre l’homophobie ».
Selon lui les malheureux, persécutés, discriminés (etc…) invertis seraient moins bien payés que leurs collègues normaux.
«Nous avons compilé les données de l’Insee sur une période de douze ans, annonce Thierry Laurent, l’un de ces professeurs. En conclusion, nous pouvons dire que les homosexuels sont moins bien payés que les hétéros.» L’écart oscille entre 5,5% dans le public et 6,5% dans le privé ».
De plus, «dans beaucoup de pays, les homosexuels atteints par le VIH sont stigmatisés. Certains évitent de se faire soigner pour ne pas être victimes de critiques. L’homophobie renforce donc le sida, qui renforce la pauvreté».
Enfin « dans l’entreprise, les gays ne peuvent pas produire leur pleine mesure car ils sont stigmatisés, mal payés et parce qu’on leur refuse les promotions, témoigne Louis-Georges Tin. Cela représente un coût pour les victimes, mais aussi pour l’entreprise et donc pour le pays tout entier. »
La démonstration est bien bancale.
Depuis 12 ans, des lois contre « l’homophobie » imposent aux employeurs de rémunérer l’ensemble de leurs salariés sur un pied d’égalité. De plus, beaucoup d’invertis ne se déclarent pas publiquement et ne peuvent donc pas être « sanctionnés ». Dans certaines entreprises, ce sont même les « hétéros » qui sont discriminés (voir ici et ici) ! Sans compter que la propagande homosexualiste a changé l’attitude de défiance qu’avait une grande partie de la population vis-à-vis des « homos ». Avancer sans preuve que les invertis sont plus pauvres que le reste de la population est totalement mensonger. Ils ont par nature un grand pouvoir d’achat car ils (pour la très grande majorité) n’ont pas de famille à nourrir. C’est la raison pour laquelle de nombreux « business » se lancent à leur attention.