Alors que chaque jour les Européens sont culpabilisés et rackettés au nom de l’imprescriptible Shoah, les familles de victimes de Katyn n’ont droit qu’à se taire et à oublier.
La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a débouté les descendants des victimes de ce massacre commis par l’Armée rouge – environ 22.000 officiers polonais avaient été exécutés -, en prétendant que les faits étaient… « trop anciens ». Dans son arrêt, la Cour prétend que les faits qui lui ont été soumis ne sont pas de sa compétence, alors qu’en première instance, la Russie avait été condamnée pour ces faits, ayant menti pendant 50 ans sur cette tuerie, ayant refusé d’enquêter puis ayant refusé d’informer les familles sur le sort de leurs parents.