En février dernier, des journalistes pourtant partisans de toutes les causes « progressistes » contemporaines – féminisme, immigrationnisme et homosexualisme – se font broyer publiquement par des confrères pour la participation à un groupe Facebook, la Ligue du LOL. Comme après chaque emballement médiatique, il faut attendre que le soufflet retombe pour commencer à connaître la réalité.
Trouvé sur Le Monde : « De par la nature des accusations proférées contre ce groupe, il aurait été logique (évident) de chercher à savoir combien de femmes faisaient partie de la ligue du lol et d’essayer de comprendre leur position au sein du groupe.
Mais personne n’a jugé utile de chercher à s’entretenir avec l’une d’entre nous. Le sujet de la présence de femmes dans ce groupe a été balayé d’un revers de main, évacué à la manière d’un caillou dans une chaussure qui ne doit surtout pas perturber un récit médiatique très bien huilé.
Seule Martine Delvaux, professeur de littérature, dans une interview donné au Point, a tenté d’apporter un éclairage sur cette question, en nous qualifiant de “schtroumpfettes”.