Bob Bergeron était une vedette chez les « gays » (invertis militants) américain.
Ce psychothérapeute bodybuildé jouissait en particulier d’une grande notoriété dans le « milieu » new-yorkais.
Cinquantenaire fringuant, il tachait de remonter le moral de ses patients invertis, souvent traumatisés à l’idée de voir leur corps vieillir…
Bob Bergeron était le chantre du « bien-être gay ».
Récemment, il avait même fini d’écrire un livre de conseils : Le bon côté de la quarantaine: le guide du bonheur pour les gays de quarante ans et plus.
Juste avant la parution de son livre déjà médiatisé, il s’est suicidé.
Avouant dans un mot d’adieu que sa réthorique n’était que foutaises, il témoigne – hélas pour lui – que le mode de vie « gay », basé sur des antivaleurs, ne mène qu’au malheur dès ici-bas.