En France, le Téléthon est un événement dit « caritatif » organisé depuis 1987 par l’Association française contre les myopathies (AFM) « pour financer des projets de recherche sur les maladies génétiques », avec le soutien de l’association para-maçonnique Lion’s Club.
Le problème est que les recherches se font souvent sur des embryons humains…
C’est-à-dire que des personnes, des tout jeunes êtres humains, sont mis-à-mort pour en prélever certaines cellules (cellules-souches).
Que font d’ailleurs les « chercheurs » avec ces cellules ?
Eh bien, par exemple, ils s’amusent à créer des embryons chimères homme-animal en vue de « cultiver » des organes humains à l’intérieur d’animaux et d’obtenir des greffons, par exemple.
De plus l’AFM promeut les « dépistages prénatals » et essayent par ses recherches, de les perfectionner.
Il s’agit tout simplement de la traque, dans le ventre de leur mère, des petits humains porteurs de handicap ou de maladie pour les… tuer.
C’est cela que l’AFM appelle (voir son slogan) « guérir » ?
Enfin, les recherches financées par le Téléthon n’ont abouti, depuis des décennies, à… pas grand chose, voire rien selon certains.
Yves Daoudal l’évoquait il y a quelques années (ainsi que feu Serge de Beketch dans une émission audible en fin d’article) :
« Il y a pourtant là un argument spectaculaire contre le Téléthon, plus précisément contre le Généthon. Non, la recherche sur les cellules souches embryonnaire ne guérit rien. Non, elle ne sert à rien. Depuis 25 ans on vous raconte des bobards, on jette votre argent par les fenêtres, on se sert en pure perte des plus petits des hommes comme d’un matériau de laboratoire.
La société américaine Geron avait été la première à obtenir une autorisation de faire des recherches sur l’embryon humain et les cellules souches embryonnaires. Elle avait lancé un programme visant à traiter les lésions de la moelle épinière. Elle vient d’y renoncer, alors que la recherche n’était qu’en phase 1 (qui consiste essentiellement à évaluer la sûreté du traitement). Geron a tenté de faire croire qu’elle arrêtait ses travaux par manque de financement. […] Les problèmes de financement ne sont pas crédibles. Il y a toujours de l’argent pour la culture de mort. […] Pour le Pr Privat, « Geron aurait facilement trouvé des financements supplémentaires si son traitement avait montré qu’il était capable d’apporter des améliorations à l’état des patients atteints à la moelle épinière ». « Je pense plutôt que le traitement a été arrêté, soit par manque d’efficacité, soit pour des problèmes de rejets ou de sûreté pour les patients », explique-t-il, rappelant que selon lui le type de cellules souches embryonnaires utilisées par les chercheurs américains sont « incapables de reconstruire les liaisons nerveuses sectionnées ». »
Le regretté journaliste Serge de Beketch, à propos du Téléthon, il y a une quinzaine d’années sur Radio Courtoisie (à l’époque ça dépotait sur cette antenne !) :