Ce livre, disponible ici, jette une lumière crue sur une vérité que les grands prêtres de la religion mondiale veulent passer sous silence.
En effet, si la collaboration entre les dignitaires nazis et les chefs du mouvement sionistes est largement connue dans la mouvance nationale, elle reste largement ignorée par le grand public, et systématiquement tue dans le récit enseigné par la (dés)Education (anti)Nationale.
Ce livre est donc d’une valeur inestimable pour démonter la mécanique du discours victimaire du peuple élu, et pour aborder cette période d’un œil neutre.
Le pacte concerne le transfert en Palestine de capitaux que les juifs allemands candidats à l’émigration souhaitaient conserver. Les historiens autorisés appellent cette disposition de manière pudique l’accord de la haavara (transfert en hébreux), et sont bien forcés d’admettre que ces fonds ont permis de créer une économie moderne sur cette terre auparavant pastorale.
Il est aisé de comprendre le voile pudique jeté sur cet accord par les élites : en effet, la Shoah étant le crime des crimes, et donc les nazis l’incarnation du Mal Absolu, il est impensable de lier la naissance de l’Etat d’Israël au IIIe Reich.
Pour finir, il est intéressant de noter qu’il est encore possible de trouver des exemplaires d’époque de la médaille commémorative éditée par Der Angriff (L’Attaque, hebdomadaire national-socialiste berlinois créé en juillet 1927 à l’initiative de Joseph Goebbels), à l’occasion d’une visite d’une délégation nazie dans les implantations juives financées par l’argent allemand.