Voici l’un des rares chefs d’Etat de pays occidental à ne pas souhaiter, d’année en année, cette fête éminemment traditionnelle et toujours précieuse aux Français, malgré la déchristianisation.
Cette obstination a quelque chose de fascinant. Car c’est pourtant un élément de base de la communication politique, hypocrite certes, mais élémentaire. Mais chez Macron, la haine et le mépris l’emportent même sur les calculs politiciens.
Ce qui n’est pas toujours le cas :