Le Régime fait fi de la révolte extraordinaire des Gilets jaunes.
« La taxe carbone voulue par l’Etat Français n’est pas abandonnée. C’est ce qu’a indiqué Emmanuel Macron.
LCI (source) :
Emmanuel Macron a estimé mardi qu’il n’était pas possible de revenir à une « augmentation automatique » de la taxe carbone, au vu des « incertitudes » sur les cours mondiaux du pétrole. Selon lui, « on doit être pragmatique », évoquant la possibilité d’une « taxation qui varie en fonction des cours mondiaux » pour amortir d’éventuelles fortes hausses à la pompe.
« Le gouvernement s’est inscrit dans la lignée de plusieurs trajectoires qui avaient été votées, depuis dix ans, par toutes les majorités, de l’augmentation de la taxe carburant et de la contribution à la transition écologique », a-t-il justifié.
Ce qu’il faut lire en creux dans les propos d’Emmanuel Macron, c’est bien le retour du principe de la taxe carbone sur les carburants.
Et pour cause : au prétexte d’une improbable lutte contre un réchauffement climatique imaginaire, le gouvernement français a programmé une augmentation considérable de ses rentrées fiscales en guise de garantie pour ses créanciers internationaux.
Et pour cause : au prétexte d’une improbable lutte contre un réchauffement climatique imaginaire, le gouvernement français a programmé une augmentation considérable de ses rentrées fiscales en guise de garantie pour ses créanciers internationaux.
La taxe carbone devait générer des dizaines de milliards d’euros de rentrées fiscales sur les 15 ans à venir pour atteindre 100 euros de la tonne en 2030.
L’annonce de sa reprise, à un rythme qui n’est pas encore défini par le gouvernement, témoigne de l’état d’endettement de l’Etat Français, étranglé par sa dette souveraine.
En décidant de remettre en place cette taxe en dépit de la contestation, Emmanuel Macron démontre que l’Etat Français est prêt à une confrontation dure pour faire face à ses créanciers internationaux. »
Source BreizAtao