Samedi, le président de la République cosmopolite tenait sa dernière réunion de la campagne de l’entre-deux tours, à Marseille. Campagne minimaliste qu’il avait commencé là-bas aussi.
Signalons en passant que ce meeting a été un échec : 2500 personnes (surtout des boomers évidemment) se sont déplacées, contre 5000 attendues.
La cité phocéenne est la ville-phare de l’immigration, de la CAF, des meurtres par balle et du trafic de drogue.
Macron a répété plusieurs fois que c’était sa « ville de cœur »…
La raison en est simple à deviner : c’est probablement, parmi les villes les plus importantes de France, celle où le Grand Remplacement des Français est le plus avancé.
Le charme singulier et si fort de la ville a disparu sous la submersion migratoire :
Un fait républicain dont Macron est très satisfait, et un symbole auquel il tient.
Quand il dit que Marseille est « un laboratoire de la République », nous ne pouvons qu’acquiescer. Puis constater que l’expérience n’est guère concluante.