Le 9 novembre dernier, Emmanuel Macron s’est rendu à la demeure familiale des De Gaulle à Colombey-les-Deux-Eglises, afin de rendre hommage au « général », dont certains croient devoir célébrer le cinquantième anniversaire de la mort.
A cette occasion, le président cosmopolite a rédigé de sa main un mot dans le livre d’or.
Aïe.
Macron, qui préfère l’anglais (effectivement plus répandu dans son univers rothschildien), montre aux Français qu’il ne maîtrise pas la langue de son pays comme on pourrait l’attendre d’un Président…
Nous ne chipoterons pas sur son « G » majuscule qui n’en est pas un, mais entre la majuscule indue à « novembre », le trait d’union manquant à « puissions-nous » et surtout le « permettrons » à la place de « permettront », il a réussi à attirer l’attention…
Cet homme est typique de son époque, cancre et ignorant des connaissances essentielles, mais bon (?) technicien pour faire joujou avec de l’argent virtuel.
Et encore, il a épousé sa prof de français !
Sur la forme, encore, un graphologue nous dit que sa « graphie très incisive et coupante dénote un caractère cassant, autoritaire et peu apte au dialogue ».
Sur le fond, on sera encore une fois ébahi de la tartufferie de cet homme qui parle de « notre nation » tandis qu’il s’acharne à brader l’héritage national et dissoudre la France dans un magma cosmopolite.
PS : à propos de De Gaulle, voir ici.