« « Mon quartier est une décharge à ciel ouvert » : à Paris, le ras-le-bol d’une habitante de Château Rouge ». Mais qu’a-t-il donc pu se passer?

L’écœurement des derniers habitants gaulois du quartier parisien de Château rouge, devenu à son tour une vaste poubelle, se fait sentir sur les réseaux sociaux et même dans les médias.
Qu’est-ce qui a bien pu se passer dans ces quartiers ?
Nos fameux journalistes ne semblent pas noter cette curieuse coïncidence : le quartier est l’un des plus colonisés (par l’Afrique) de Paris.

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Le Figaro trouve même le moyen d’en faire une description presque poétique :
« De nombreux déchets jonchent le sol, formant par endroits des sortes de mini-montagnes de détritus. 
Pour le plus grand bonheur des pigeons qui viennent picorer des restes… »

Les médias les plus pourris, tel ce torchon féminin (ou plutôt féministe), se réjouit, par idéologie cosmopolite, et tant pis pour la sombre réalité :

« Populaire », dans la novlangue cosmopolite, signifie « remplacé ».
Le journal bobo de poursuivre :
« A dix minutes de Montmartre, ça grouille de monde, les odeurs d’épis de maïs grillés planent au-dessus des vitrines colorées : nous voilà à Château-Rouge, carrefour des cultures et des métissages, « un lieu de passage et de commerces pour la communauté africaine », commente Kévi Donat, le guide du quartier organisateur des visites « Le Paris Noir ». Avec lui, nous passons la rue Poulet, happés par l’agitation du marché clandestin et captivés par les vendeurs de rue déballant sur des cartons leurs perruques hallucinantes. »

L’expression chantante de « carrefour des cultures et des métissages » signifie en réalité simplement le remplacement de Gaulois par une autre population (généralement africaine).