Le meurtrier présumé de l’étudiant de 20 ans, poignardé à mort jeudi vers 22h dans la rue Saint-Guilhem, devant la supérette située à l’angle de la rue de la Valfère, dans l’Écusson à Montpellier est âgé de 29 ans. Il n’est pas né en France.
Formellement identifié dans la nuit grâce à la caméra de vidéosurveillance de la supérette et au fichier des personnes déjà condamnées, il est déjà connu de la justice, notamment pour homicide volontaire.
En effet, il a été condamné en 2013 à dix ans de réclusion criminelle par la cour d’assises des Hauts-de-Seine et il avait été récemment libéré après avoir purgé une partie de sa peine. Il était venu s’installer à Montpellier, dans un appartement du Plan Cabanes, proche du cours Gambetta, où il a été interpellé ce vendredi à l’aube.
Outre sa condamnation pour meurtre, son casier judiciaire en mentionne d’autres, très nombreuses et notamment des délits de violences volontaires avec arme sur la voie publique.
un meurtrier en liberté,faute de place en prison, qui récidive
la République est un état de droit de la jungle, qui livre les Gaulois aux fauves.
l ‘ « humanisme » maçonnique de l’ abolition de la peine de mort
aboutit à ce résultat.
des juges du Mur des cons devraient se balancer au bout d’une corde.
Deux poids deux mesures en ce qui concerne les auteurs présumés d’infraction.Lorsque celle ci est commise par un desouche , comme par hasard le nom est connu et publié systématiquement par les journaleux.Lorsque l’individu présumé est autre il est désigné pudiquement par la clique journaleuse comme « n’étant pas né en France ». Nous sommes donc en droit de nous interroger à savoir si cette méthode n’est pas destinée à protéger certains ou du moins une certaine catégorie d’auteurs présumés d’actes délictueux ?
Il faut voir que dès qu’un Français de souche est assassiné, c’est une omerta totale : On le voit dans le cas présent à Montpellier.
Qui a entendu parler de l’assassinat, il y a 15 jours, à Clermont Ferrand, d’un autre étudiant par un Turc, qui depuis, s’est enfui en Turquie et donc hors de portée de la justice française ?
http://www.francesoir.fr/societe-faits-divers/clermont-ferrand-un-etudiant-poignarde-mort-en-marge-une-soiree-coups-couteau-blesse-fuite-boulevard-cote-blatin-mort-recherche
Autre exemple, cet agriculteur victime d’un attentat terroriste (poignardé par un islamiste fiché S qui a crié « Allah Akhbar » au moment de commettre son crime et dont la police a retrouvé lors des perquisitions de nombreuses vidéos de l’EI sur son ordinateur) et qui n’est pas reconnu comme tel http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2017/07/19/01016-20170719ARTFIG00022-agriculteur-poignarde-la-defense-demande-une-requalifcation-en-acte-terroriste.php
Les Français de souche sont véritablement des individus de seconde zone en France. Il faut comparer cela quand un Juif est victime, où toute la communauté -et au-delà- se mobilise : L’assassinat certes terrible de Sarah Halimi en est un exemple, mais en ce qui la concerne, elle a été victime d’un Africain fou (l’auteur n’avait pas son discernement), de surcroît complètement « shooté » à la cocaïne. La communauté ne cesse de parler de cela depuis des mois car elle serait victime d’antisémitisme (sic) et les media relaient à l’envi l’affaire. Mieux, quand une simple plaque est vandalisée (on ne parle là que de faits matériels), il y a là encore des dizaines d’articles…