L’universitaire Noel Ignatiev vient de mourir à 78 ans.
Aux Etats-Unis, dont il était citoyen, la parole est plus libre pour tout le monde (même si toutes les opinions n’ont pas accès aux médias ou aux chaires universitaires). Certains disent donc à voix haute ce que beaucoup pensent tout bas. Cela peut être intéressant pour les Français qui sont parfois naïfs quant aux objectifs de quelques-uns.
Voyez le cas de cet extrémiste antiblanc (vous verrez que cette désgination n’est pas exagérée), qui fut professeur à la prestigieuse université d’Harvard, et fut l’un des théoriciens du discours antiblanc officiel repris par tous les médias occidentaux depuis l’élection de Donald Trump en 2016.
Noel Ignatiev, présenté comme « blanc », est un fils d’immigrés juifs de Russie qui s’impliqua dans des groupes étudiants marxistes avant d’être diplômé de Harvard où il enseigna et à qui il resta associé.
Son grand combat, officiel, fut la lutte contre la race blanche, mené par ses discours, cours et publications, telles que sa revue Race traitor (« Traître à la race » [sic]), dont le slogan était « la trahison de la race blanche est une loyauté envers l’humanité ». Il y écrivit par exemple :
« Ne vous y trompez pas, nous avons l’intention de continuer à frapper les hommes blancs morts, et les vivants, et les femmes aussi, jusqu’à ce que la construction sociale connue sous le nom de « race blanche » soit détruite. Non « déconstruit » mais détruit. »
Cet article du Washington Post en 2002 l’évoquait à l’occasion de la parution d’un article de lui dans la revue d’Harvard :
Noel Ignatiev, fondateur de la revue « Traître à la Race » et membre du W.E.B. DuBois Institute de Harvard, un important département d’études noires, affirme dans le dernier numéro du Harvard Magazine que « l’abolition de la race blanche » est « si souhaitable que certains peuvent avoir du mal à croire » que seuls les « tenants de la suprématie blanche » y seraient opposés.
Dans des extraits parus cette semaine dans des journaux nationaux, M. Ignatiev, qui est blanc, écrit que « tous les groupes de l’Amérique blanche, y compris les syndicalistes, les groupes ethniques, les étudiants, les enseignants, les contribuables et les femmes blanches » ont à un moment ou à un autre « fait valoir leurs intérêts particuliers et étroitement définis aux dépens des Noirs comme race ».
M. Ignatiev promet dans son essai que son journal, « Traître à la Race », a l’intention de « continuer à frapper les hommes blancs morts et les vivants, ainsi que les femmes, jusqu’à ce que la construction sociale connue sous le nom de « race blanche » soit détruite non pas « déconstruite » mais détruite ».
Il s’agit bien de la théorisation du génocide des Blancs aux États-Unis.
« La race blanche est comme un club privé basé sur l’énorme supposition que tous ceux qui ont l’air blanc, quelles que soient leurs plaintes ou leurs réserves, sont fondamentalement loyaux envers la race. Nous voulons dissoudre ce club, le faire exploser » , a-t-il dit.
En fait, cette loyauté n’est plus répandue depuis des décennies, suite à la diffusion du communisme, du gauchisme, du cosmopolitisme et du libéralisme.
Ci-dessous un extrait vidéo (en anglais) d’Ignatiev dans lequel il dit que le seul fait d’avoir la peau blanche est « une forme d’oppression raciale ».
La fin de cette « oppression » est le prétexte de certains pour en finir avec la race blanche, par la promotion de l’avortement (et maintenant de la stérilisation), de l’immigration et du métissage de masse.