Vincent Lambert était ce jeune homme paralysé contre lequel les partisans de la culture de mort, de l’euthanasie, s’étaient acharnés jusqu’à obtenir – après une lutte acharnée contre ses parents – la mise à mort, dans des conditions horribles. (voir une présentation et un rappel chronologique de l’affaire ici).
Viviane Lambert, qui fut un modèle de persévérance et de courage, soutenue par sa foi, vient de s’éteindre à son tour, victime d’un cancer (et du désert médical qu’est devenue la France).
Elle mérite notre hommage.
En 2020, un an après la mort de son fils, Viviane Lambert témoignait sur Franceinfo : « Nous sommes profondément marqués, moi je suis en dépression, notre santé est tombée bien bas. Je ne me tairai pas, je dirai les choses jusqu’au bout, jusqu’à mon dernier souffle. Ça (l’arrêt des soins) a été fait dans de très mauvaises conditions, sur le plan médical on a vu notre fils agoniser pendant ces nombreux jours, on l’a vu râler, suffoquer et ça c’est abominable. »
► Voir aussi : « Cette fois, c’est terminé » : la lettre des parents de Vincent Lambert et celle de son avocat…