La justice (rouge?) a été bien indulgente avec l’un de ses éminents membres.
« L’ex-présidente du Syndicat de la magistrature Françoise Martres a été condamnée, jeudi 31 janvier, à 500 euros d’amende avec sursis pour injure publique dans l’affaire du « mur des cons » uniquement au préjudice d’un père de victime, Philippe Schmitt, mais a été relaxée s’agissant des hommes politiques qui la poursuivaient.
Le tribunal correctionnel a notamment estimé que le délit est bien constitué et que les faits n’étaient pas prescrits, mais a débouté pour des motifs de forme les politiques de droite ou d’extrême droite qui poursuivaient Mme Martres. Le « mur des cons », ce trombinoscope affiché dans les locaux du syndicat, avait suscité une vive polémique en 2013. » (source)
Le Syndicat de la magistrature, qui obtient entre un quart et un tiers des votes aux élections professionnelles, ne fait pas mystère de son caractère politique (gauchiste évidemment).
Pour rappel, en 2013, une vidéo avait été divulguée montrant un panneau intitulé « le mur des cons », sur lequel sont affichées, dans le local du syndicat, « les photos de diverses personnalités publiques – hommes politiques, intellectuels ou journalistes, majoritairement de droite – de hauts magistrats ou de syndicalistes policiers. On y trouve également des photos de divers parents de victimes, dont le père d’une jeune fille violée et tuée par un récidiviste, qui avait milité en faveur du fichage génétique des délinquants sexuels. » (source)
Après un tel scandale, montrant bien la partialité, l’inhumanité et l’absence de conscience professionnelle d’une partie importante de la magistrature, cette ignoble association de canailles qu’est le SM aurait dû être dissoute sur le champ et ses principaux membres sanctionnés ou limogés selon leur degré d’implication.