A l’occasion d’un événement culturel, « le voyage à Nantes », organisé chaque été avec la municipalité de gauche, une ignoble sculpture a été érigée Place royale.
On y voit notamment la moitié d’une femme (celle qui semble intéresser l’« artiste ») uriner…
Uriner debout paraît être le combat du moment pour le gaucho-féminisme et ses compagnons de route.
Inutile de répéter, avec une telle photo, que cette idéologie relève de la maladie mentale.
Précisons que cette foire annuelle, qui parsème Nantes d’« œuvres » lamentables, coûte les yeux de la tête.
En 2018, son budget était de 29,5 millions d’euros, dont 59% financé par le contribuable…
Les « œuvres » sont facturées de quelques centaines de milliers à plusieurs millions d’euros.
Les « artistes » modernes, incapables de proposer le Beau, ne savent que proposer de la transgression.
On n’ose pas imaginer ce qu’ils mettront dans quelques années sous les yeux de nos enfants s’il n’y a pas de révolution nationaliste avant.