Peu après l’incendie de la cathédrale de Nantes, un « réfugié rwandais » était interpellé.
« L’homme de 39 ans, qui avait été placé en garde à vue samedi dans l’enquête sur l’incendie de la cathédrale de Nantes, a été remis en liberté dimanche soir, a-t-on appris auprès du procureur de la République. » (source)
L’homme est peut-être innocent mais on relèvera tout de même que :
• le diocèse confie les clefs de la cathédrale à un migrant (peut-être clandestin) qui parle si peu le français que la police a dû recourir à un interprète durant l’audition. Xénolâtrie et misère du clergé français.
• l’avocat (choisi par le diocèse ?) qui a assisté le Rwandais a osé, avec sa drôle de tête, appeler les catholiques à la « miséricorde » et a minimisé le désastre en disant qu’il n’y avait pas de blessé… :
Nantes: l’avocat de l’homme placé en garde à vue assure qu' »aucun élément ne rattache » son client à l’incendie de la cathédrale pic.twitter.com/46vEGnOeHn
— BFMTV (@BFMTV) July 19, 2020