Une information qui nous avait échappé et qui date de juin.
« Le 22 mars 2016, un Alésien de 51 ans avait été battu à mort, dans une rue de Nîmes, pour avoir refusé de donner du feu à un jeune homme qu’il avait jugé trop jeune pour fumer. » (source)
Trois Maghrébins l’avaient massacré, s’étaient acharnés sur lui, comme en témoigne le rapport du médecin légiste qui avait glacé d’effroi l’assistance lors du procès :
« Il indique que la victime présentait « un traumatisme crânien gravissime et un pneumothorax avec des cotes cassées avec de l’air dans la plèvre ». L’expert précise que l’échec de l’intervention en neurochirurgie est du à la gravité des lésions liées aux violences.
Tout le visage était concerné, il y avait du sang dans les deux yeux. Fractures des os propres du nez, une plaie à la lèvre, dents cassées, plaie au niveau du mandibule. Tout le visage était lésionnel (…) »
« Hématomes au niveau des cotes, des saignements, hématome de 16 cm au niveau du bras, sans doute un geste de défense (…) tout le crâne était fracturé ». Le médecin indique avoir constaté des enfoncements de la boîte cranienne à cinq endroits (des embarrures). Cinq morceaux d’os du crâne sont sortis du crâne ». » (source Midi libre)
Pour le premier des trois accusés, l’« altération du discernement » scandaleusement plaidée n’a pas été retenue : Saïd Berrahou est condamné à 16 ans de réclusion criminelle. Farid Ounaha est condamné, lui, à 14 ans de réclusion criminelle. Enfin, Karim Berrahou est condamné à 6 ans de prison.
A l’énoncé des peines, les familles des accusés ont « protesté et hurlé. Elles ont été évacuées de la salle d’audience. »…
(source)