Tribune libre d’Olivier Piacentini, essayiste (ses livres ici) :
« La nuit dernière, à Lyon, un jeune homme de vingt ans a été assassiné à coups de couteau à la station de métro Gerland.
Pauvre garçon, fauché dans la fleur de l’ âge.
Les meurtriers ? Ils ne s’appelaient ni Jean-Edouard, ni Eudes, ni François-Xavier, n’étaient pas cathos intégristes ni d’extrême droite. C’étaient deux migrants en situation irrégulière, ivres au moment des faits, qui s’en sont pris à ce garçon, on ne sait trop pourquoi.
Ce que l’on sait, par contre, mais que personne ne veut relayer dans les médias, c’est que l’immigration irrégulière tue, et souvent.
Et elle tue des innocents de passage, des jeunes qui ne font rien de mal, des jeunes filles dont la tenue déplait, et toutes sortes de quidam qui auraient dû rentrer tranquillement chez eux.
Vue la fréquence des meurtres commis par des clandestins, et vu le négationnisme des autorités comme de la gauche bien-pensante et des journalistes, il est grand temps de mettre tout ce beau monde en face des immenses responsabilités qu’il porte : incapables de dire la vérité aux Français, incapables d’assurer l’ordre et le respect de la loi comme il faudrait, incapables d’expulser les indésirables, ils sont tout autant coupables que les criminels qu’ils protègent.
Ce sont eux qui préfèrent protéger les assassins, taire leurs prénoms, au motif de ne pas discriminer, plutôt que de mettre le doigt là où cela fait mal. Alors que l’on est capable de dénicher du soi-disant racisme là où il n’y en a pas, alors que l’on nous assomme de « pas d’amalgame » à chaque attentat terroriste, comme si les hypothétiques représailles effrayaient bien plus nos élites que les crimes commis effectivement par des étrangers, il est de plus en plus évident qu’une préférence étrangère s’installe dans notre pays jusqu’à protéger les pires criminels. L’attitude de la justice, des médias, des gouvernants donne une sorte de permis de tuer subliminal à tous ceux qui circulent sur notre sol, y compris ceux qui n’y ont pas droit. Voilà pourquoi, au delà de la condamnation des criminels et délinquants qui se baladent en France munis de droits exorbitants, et dont la vie compte plus que celle des nationaux, ce sont avant tout à nos politiques, journalistes et juges qu’il faut imputer la responsabilité de ce massacre qui se déroule sous nos yeux, mais qu’on veut nous faire accepter. »