Une liste (non exhaustive) de ce qui va changer, en commençant par les mauvaises nouvelles, naturellement plus nombreuses.
Négatif :
-hausse des tarifs de la SNCF (1,9%)
– hausse des tarifs des transports en Ile-de-France.
– taxis : hausse moyenne des tarifs de 2,6%.
– hausse des scandaleux péages autoroutiers de 1,9%.
– l’avantage apporté par le quotient familial est limité à 2 000 € par enfant, au lieu de 2336 €.
– l’impôt sur le revenu va augmenter de 2%.
– instauration d’un prélèvement de 0,3% sur les retraites imposables.
– concernant l’ISF (impôt servant à payer les fonctionnaires qui travaillent dessus) : l’ancien barême, qui est nettement plus sévère que l’actuel, est partiellement rétabli.
– la redevance audiovisuelle augmente de 6 € en métropole. Mais bon, on vous a assez répété de vous débarrasser de vos télévisions 😉
– les tarifs postaux augmentent en moyenne de 2,8%.
– les droits sur les alcools augmentent de 1,75 % et la taxe sur la bière de 160 % (le demi passera en moyenne à Paris de 2,5 à 3 €) !
– les prix du gaz augmentent de 2,4% et l’électricité de 2,5 %.
– Le remboursement des avortements volontaires passe à 100 % pour toutes les patientes. Le meurtre des bébés est donc payé totalement par les contribuables… Quant à la si calamiteuse « pilule », elle devient gratuite pour les jeunes de 15 à 18 ans.
Positif :
– hausse de 2,15 des aides personnelles au logement (APL).
– concernant les allocations familiales, le plafond de ressources est revalorisé de 2,1%.
– le plafond du livret A passe de 19 125 € à 22 950 €.
– la TVA sur les livres et celle sur les spectacles repassent à 5,5 %, après quelques mois à 7 %.