« Des dizaines de dossiers, et quelques heures seulement pour les traiter. C’est la situation stupéfiante à laquelle a été confrontée la justice après le débarquement à Toulon, la semaine dernière, des 234 migrants pris en charge par le bateau de l’association SOS Méditerranée. Un embouteillage judiciaire qui a débouché jeudi 17 novembre sur une décision surprenante : la quasi-totalité des migrants encore présents dans la zone d’attente aménagée pour leur accueil ont été autorisés à partir. […] » (source et détails)
Certes, la « justice » a été débordée.
Mais enfin, c’était tout de même un tout petit peu prévisible par les politiques, non ?!
Ils ont choisi tout même d’accueillir (un onze novembre : y a-t-il un signal ?) ce bateau d’envahisseurs méprisant nos lois.