C’était un… 20 juillet :

1031 : mort du roi de France Robert II, successeur et fils d’Hugues Capet. D’une grande piété, c’est lui qui commença l’édification de Notre-Dame de Paris. Il fut le premier à manifester le don de guérir les écrouelles.

1789 : début de la « Grand Peur » (qui durera deux semaines), durant laquelle de nombreux châteaux et manoirs seront pillés par les « patriotes » qui suivent l’exemple de la prise de la Bastille.

1870 : au tout début de la guerre franco-prussienne, Karl Marx ecrit : « les Français ont besoin d’être rossés ». Et d’expliquer : « en cas de défaite française, la prépondérance allemande transportera le centre de gravité du mouvement ouvrier européen de France en Allemagne. Ce sera en même temps la prépondérance de notre théorie sur celle de Proudhon. »

► sur ce thème, lire par exemple : le communisme dans l’histoire de l’abbé Onclair, Connaître le communisme de Jean Daujet (excellente petite synthèse doctrinale),  le communisme dans la révolution antichrétienne de l’abbé Meinvielle, et d’autres.

1933 : à Rome, le pape Pie XI signe un concordat avec le IIIe Reich.

1936 : accident d’avion, au Portugal, provoquant la mort du général Sanjurjo, chef de la rébellion anticommuniste espagnole. Il sera remplacé par le général Franco.

1944 : attentat manqué contre Adolf Hitler à son quartier général de Rastenburg (« la Tanière du loup »), en Prusse orientale, organisé par une faction conservatrice et nationaliste de la Wehrmacht. Le comte Claus von Stauffenberg, âme du complot, sera exécuté quelques heures plus tard.
Hitler, ayant échappé de très peu à la mort (son pantalon est complètement déchiré), verra là un signe et un encouragement de la Providence.

1974 : à la suite de la prise du pouvoir par les nationalistes pro-grecs, la Turquie envahit Chypre et créé sa propre enclave.

► pour mieux connaître cette île, lire par exemple : Chypre, de Jean-Claude Rolinat.

 

6e Dimanche après la Pentecôte – textes de la messe commentés

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivaient nos aïeux), avec leur commentaire.

La multiplication des pains.

« « Le Seigneur est une force pour son peuple » : chant magnifique d’allégresse et de mâle assurance, où le peuple chrétien exprime aujourd’hui devant Dieu sa confiance et sa sécurité. Le graduel, l’alleluia, l’Offertoire, font écho à ce beau chant d’entrée. C’est cette providence de Dieu, enveloppante et pénétrante, qui donne aux chrétiens de pouvoir se maintenir et progresser dans le bien (coll.).
L’épître redit l’exigence de sainteté de notre vie de baptisés, mais l’evangile de la multiplication des pains nous rappelle comme le Christ s’est fait la nourriture surabondante de notre vie, pour nous donner la force de le suivre sans « défaillir en chemin ». »

Dom G. Lefebvre

TEXTES AVEC COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgiquedisponible ici avec ses autres livres)

« L’Office du sixième Dimanche après la Pentecôte s’ouvrait hier soir par l’exclamation poignante d’un immense repentir. David, le roi-prophète, le vainqueur de Goliath, vaincu à son tour par l’entraînement des sens, et d’adultère devenu homicide, s’écriait sous le poids de son double crime : « Je vous en prie, mon Dieu, pardonnez l’iniquité de votre serviteur, car j’ai agi en insensé ! »

Le péché, quels que soient le coupable et la faute, est toujours faiblesse et folie.
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C’était un… 19 juillet :

711 : bataille du Guadalete, désastre au cours duquel les Wisigoths d’Espagne sont défaits par les envahisseurs arabo-musulmans. Le roi Rodéric et de nombreux nobles périssent dans les combats. Le flot des Maures déferle ensuite sur l’Espagne, profitant de la désunion des indigènes et de l’accueil favorable des  Juifs locaux. C’est la fin du royaume wisigoth.

1374 : mort de François Pétrarque, érudit, poète et humaniste italien, pionnier de la prétendue « Renaissance ».

1870 : la France de Napoléon III déclare la guerre à la Prusse, qui l’a en réalité provoquée. Le maréchal Lebœuf se flatte qu’« il ne manque pas un bouton de guêtre » à l’armée. Six semaines plus tard, c’est le désastre de Sedan.

1896 : obsèques, à Paris, du marquis de Morès, en présence d’un représentant du président de la République Félix Faure, du duc d’Orléans, de nombreux militaires et députés, et de deux mille personnes. Des éloges funèbres sont prononcés par Maurice Barrès, Édouard Drumont, un représentant de l’armée et un autre des bouchers de la Villette.

1976 : mort, à Beyrouth, de Stéphane Zanetacci, militant français du Groupe Action Jeunesse, alors qu’il attaquait, avec les milices phalangistes, le camp palestinien de Tall el Zatar. En face, aux côtés des Palestiniens, se trouvent d’autres militants nationalistes français antisionistes.

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La désastreuse Najat Vallaud-Belkacem nommée à la Cour des comptes sans aucune compétence : corruption ?

L’étrangère à papiers français Najat Vallaud-Belkacem a été nommée à la Cour des comptes, « sur proposition du Premier ministre ».
Elle est nommée directement « conseillère maître » (le plus haut grade) à la Cour des comptes ! Pas de diplôme, pas de concours, pas de compétence comptable particulière justifiant une telle promotion.

Selon Le Canard enchaîné, François Bayrou aurait négocié ce poste pour éviter une censure de son budget par les députés PS, dirigés par Boris Vallaud… mari de Najat. Si c’est exact, c’est non seulement une grave infraction morale, mais aussi légale.

Mais on ne voit pas à quel autre titre, à part son appartenance à la franc-maçonnerie, peut légitimement obtenir ce poste cette femme dont l’obsession est la destruction totale de l’identité française, alors que ce pays l’a pourtant si généreusement accueillie, nourrie, promue.
Elle était auparavant présidente de l’association invasioniste France Terre d’Asile (qui a touché près d’un million d’euros de la mairie de Paris en 2024 : décidemment les Français payent et financent abondamment ceux qui veulent génocider  leur peuple par remplacement).

Et elle est censée maintenant contrôler le bon usage des fonds publics à la cour des comptes ?! Quelle odieuse plaisanterie !

Voir aussi :
Najat Vallaud-Belkacem tente de refaire parler d’elle en écrivant une chanson pour les migrants
Najat Vallaud-Belkacem veut enseigner l’arabe dès le CP !
Pour le ministre Najat Vallaud-Belkacem, un plat avec du porc est un plat « confessionnel » !
Najat Vallaud-Belkacem s’en prend à ceux qui veulent que les enfants aient des diplômes

Les subventions délirantes ou scandaleuses accordées par la ville de Paris en 2024

La qualité de vie se dégrade toujours plus dans la capitale, qui s’enlaidit chaque mois davantage, et on pourrait croire que la ville n’a pas les moyens d’entretenir ne serait-ce que ses rues, quand on voit leur état souvent lamentable et parfois dangereux.
Mais en réalité, il y a de l’argent pour certains !

On peut accéder ici au fichier public présentant les subventions aux associations votées par la municipalité parisienne.

Alors que la veille de Paris est maintenant endettée à hauteur d’environ 10 milliards d’euros (!!) –Hidalgo ayant fait doubler le montant de la dette que son prédécesseur socialiste Delanoé avait déjà fortement aggravé –, la gauche distribue l’argent public à des centaines d’associations et de projets délirants, qui n’ont rien à voir avec l’intérêt des Parisiens, mais correspondent à ses lubies idéologiques (immigrationisme, dépravation des moeurs, art dégénéré…).
Sans oublier bien sûr le clientélisme : c’est comme ça que ces gens se maintiennent au pouvoir malgré des résultats désastreux, que tout le monde constate.

Quelques exemples pour 2024 seulement :

– Institut des cultures d’islam : 1,5 million d’€
– France terre d’asile : 920 000
– Assemblée citoyenne des originaires de Turquie : 64 000
– Migrations Santé France () : 32 000
– Kabubu (lien social entre « personnes exilées ») : 30 000
– UNEF, association d’étudiants d’extrême-gauche : 20 000
– UGOP (« Lutte contre discriminations sexistes et LGBTphobes dans le sport
») : 14 000
– SOS Racisme : 10 000
– Collectif intersexe activiste (« droits intersexes ») : 10 000
– Tous bénévoles (accueil des migrants) : 10 000
– « Aide à l’intégration des migrants suédophones afghan.e.s » : 6 000
– CHINOIS DE FRANCE FRANÇAIS DE CHINE (« Accès aux droits et au numérique pour les migrants chinois ») : 5 000

Gaza : une église attaquée par Israël (3 morts)

L’église de la Sainte-Famille de Gaza, attaquée le 17 juillet 2025 • L’ŒUVRE D’ORIENT

Dans la matinée du jeudi 17 juillet, l’armée israélienne a frappé l’église de la Sainte-Famille, la seule paroisse catholique latine de la bande de Gaza.

Le père Gabriel Romanelli, curé de la paroisse, est blessé, annonce le Patriarcat latin de Jérusalem. Dans l’après-midi, le patriarche latin de Jérusalem, Pierbattista Pizzaballa, a confirmé la mort de trois personnes. […]

Les murs de l’église ont été endommagés. Selon le patriarche latin de Jérusalem, «un tank a directement frappé l’église». De nombreux médias parlent d’une attaque aérienne. «Les informations sont encore partielles, la communication avec Gaza n’est pas facile, surtout aujourd’hui», ajoute le cardinal Pizzaballa.  (source Vaticannews)

Le Patriarcat latin de Jérusalem précise ce que vous n’entendrez pas sur Cnews :

«Les personnes qui vivent dans le complexe de la Sainte-Famille ont trouvé refuge dans l’église, espérant que les horreurs de la guerre épargneraient au moins leur vie, après avoir déjà perdu leurs maisons, leurs biens et leur dignité», note le communiqué du Patriarcat latin de Jérusalem, partagé dans l’après-midi du jeudi 17 juillet, avant d’ajouter […] : [qu’il] « condamne fermement cette tragédie et ces attaques visant des civils innocents et un lieu sacré». Cependant, ajoute la note, «cette tragédie n’est pas plus grave ni plus terrible que les nombreuses autres qui ont frappé Gaza. De nombreux autres civils innocents ont également été blessés, déplacés et tués. La mort, la souffrance et la destruction sont omniprésentes.» «Le moment est venu pour les dirigeants d’élever la voix et de faire tout ce qui est nécessaire pour mettre fin à cette tragédie qui est injustifiable sur le plan humain et moral», peut-on également lire dans le communiqué. (idem)

Ca change du fanatisme pro-israélien qu’on entend chez presque tous les médias et influenceurs de « droite » en France, fussent-ils chrétiens !

C’était un 18 juillet…

– 390 : les Gaulois, sous le commandement de Brennus, s’emparent de Rome après un long siège face au mont Capitolin, où l’armée romaine s’était réfugiée.
Au moment de la pesée de la rançon (1 000 livres d’or), devant les protestations romaines, Brennus jette son épée dans la balance en proclamant « Vae victis ! » (« Malheur aux vaincus ! »)

64 : début de l’incendie de Rome, qui dure 9 jours et détruit la ville. Le fou et sanglant Néron, qui en est à l’origine, en accuse les chrétiens.

1100 : mort du duc de Basse-Lorraine Godefroi de Bouillon. Ce chevalier franc avait répondu avec enthousiasme à l’appel à la croisade de Pierre L’hermite et du pape Urbain II, pour secourir les chrétiens d’Orient et délivrer les lieux saints, et était devenu le premier roi chrétien de Jérusalem (dont il avait dirigé la prise en 1099).

1936 : début de la guerre d’Espagne, 5 jours après l’assassinat du chef de l’opposition monarchiste au parlement. Les généraux nationalistes appellent au soulèvement et tentent un coup d’Etat pour renverser la gauche radicale au pouvoir. La guerre durera 3 ans et fera un million de morts. Robert Brasillach et Maurice Bardèche ont écrit à ce sujet un livre assez complet.

1941 : le Vel d’Hiv est rempli et l’ambiance est chaude.
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C’était un 17 juillet : mort d’Henri Poincaré, un génie français (pillé par Einstein)

Ce brillant scientifique français s’est éteint le 17 juillet 1912.
On le considère généralement comme l’un des derniers grands savants universels, maîtrisant en particulier l’ensemble des branches des mathématiques de son époque.
Son œuvre, qui précède en réalité les principales découvertes d’Einstein (qui le pilla), concerne principalement les mathématiques pures, la physique et l’astronomie.

Ci-dessous vous pouvez écouter une émission de Serge de Beketch en 1991, consacrée au pillage de Poincaré par Einstein, avec un spécialiste : Dean Mamas, docteur en physique nucléaire américain.
On peut aussi signaler le livre de Jean Hladik, spécialiste de physique théorique et historien de la science : « Comment le jeune et ambitieux Einstein s’est approprié la relativité restreinte de Poincaré » (Ed. Ellipses, 2004).

C’était un 16 juillet : le massacre de la famille impériale russe par les communistes

Dans la nuit du 16 au 17 juillet, en 1918, les communistes massacraient la famille impériale russe (11 personnes, dont la plus jeune avait 12 ans), à Iekaterinbourg.

C’était le crime fondateur du communisme – comme l’assassinat du couple royal français l’avait été pour la Révolution – et il en annonçait bien d’autres…

« Les tirs ont lieu à bout portant. Iourovski aurait levé son arme et tiré sur Nicolas, qui meurt sur le coup. Les autres bourreaux tirent jusqu’à ce que toutes les victimes tombent. Le tsarévitch rampe vers la porte, le commissaire bolchevik Peter Ermakov lui défonce le crâne à coups de baïonnette. Les dernières survivantes (Anastasia, Tatiana, Olga, et Maria dont les diamants cousus dans leurs vêtements leur ont servi un temps de gilet pare-balle) sont exécutées tout aussi sauvagement, car leurs cris pouvaient être entendus à l’extérieur. » (source)

Les responsabilités de ce crime barbare ne sont pas précisément établies. Trotsky écrira que l’ordre venait de Lénine lui-même.
La piste du crime rituel juif est étudiée très sérieusement, depuis peu, par la justice russe elle-même.

C’était un 15 juillet : la libération de Jérusalem par les Croisés

Les croisades constituent l’une des plus belles manifestations de la générosité de la race française.

Le vendredi 15 juillet 1099, les croisés libèrent la ville de Jérusalem des mains des musulmans. Ils ont quitté l’Europe occidentale trois ans plus tôt et effectué une interminable et périlleuse marche pour répondre à l’appel du pape Urbain II, reprendre aux Infidèles le tombeau du Christ et y permettre à nouveau les pèlerinages.

Pendant le siège, plusieurs tentatives avaient été faites, mais furent toutes repoussées. Trois machines de siège furent terminées et amenées près des murs dans la nuit du 14 juillet. Elles permirent la conquête de la ville sainte.
Godefroy de Bouillon devient Advocatus Sancti Sepuchri (Avoué du Saint Sépulcre) le 22 juillet, refusant d’être « roi » dans la ville où mourut le Christ.
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Sénégal : le projet de ville du rappeur américain Akon abandonné après 5 ans

« Ça sera un grand centre économique mondial » assurait en 2020 le riche rappeur noir-américain « Akon », d’origine sénégalaise.

La ville devait s’appeler – modestie oblige – « Akon City », et était inspirée du fantasmagorique Wakanda (pays noir florissant fictif de l’univers Marvel).
Budget : 6 milliards de dollars.

Cinq ans plus tard, le constat est sans appel : sur les 800 hectares annoncés, seul un bâtiment d’accueil inachevé sort de terre. Aucune route, aucune centrale solaire, aucun logement. À Mbodiène, les promesses de développement ont laissé place à l’amertume et à l’incompréhension.

Officiellement, les retards sont d’abord imputés à la pandémie de Covid-19. Les promoteurs évoquaient également des études de faisabilité et des lenteurs administratives. Mais ces explications ne suffisent plus à convaincre. L’État sénégalais, via la Société d’aménagement et de promotion des côtes et zones touristiques du Sénégal (SAPCO), a récemment décidé de reprendre la main. […] (source)

En haut, le projet, en bas, le résultat final

Wakanda !

C’était un… 14 juillet :

• 1223 : mort de Phillipe II « Auguste », qui fut comme son nom l’indique l’un des plus grands rois de France. Il avait remporté la victoire capitale de Bouvines en 1214, après quoi « jamais depuis ne fut personne qui osa faire la guerre au roi Philippe, mais il vécut depuis en grande paix et toute la terre fut en grande paix », nous dit un chroniqueur anonyme.

1683 : l’armée turque s’installe devant Vienne pour en faire le siège. Les boulangers de la ville prennent une part importante dans sa défense et fabriquent des brioches en forme de croissant (symbole de l’islam), en signe de résistance.

1789 : prise de la Bastille, qui ne s’est pas réellement défendue, mais l’épisode donnera naissance à un mythe républicain très grossi…
Les (seulement) sept prisonniers (dont 4 faux monnayeurs, et aucun détenu politique) sont libérés.
Dès 5 heures du soir, les démolisseurs de Pierre-François Palloy sont en action, s’attaquant au haut d’une tour.
Pendant ce temps, les révolutionnaires portent sur une pique la tête du gouverneur et massacrent ses adjoints. Dès son début, la Révolution est sanguinaire (rappel contre ceux qui veulent séparer 89 et 92).

1790 : première « fête de la Fédération », au champ de Mars, à Paris. Deux cent mille personnes, dont cent cinquante mille venues des différentes régions de France, se réunissent. Le général La Fayette, qui préside la cérémonie, prête sur l’« autel de la Patrie », au nom de tous les gardes nationaux de France, un serment de fidélité à l’ Assemblée nationale. Le roi Louis XVI jure de maintenir la Constitution et est acclamé. Une messe est célébrée, sur l’autel de la Patrie, par Talleyrand, évêque d’Autun à la piété plus que douteuse (qui dira à La Fayette, le voyant près de lui : « Ah ça ! je vous en prie, ne me faites pas rire »).
C’est en mémoire de cette fête – qui entendait marquer l’unité de la France et la réconciliation des Français autour de la monarchie constitutionnelle (mais  dont la date était en référence à la prise de la Bastille un an plus tôt) – que l’Assemblée nationale de la jeune IIIe (et très maçonnique) République vota, en 1880, l’institution du 14 juillet comme fête nationale.

1793 : mort, à Saint-Florent-le-Vieil, de Jacques Cathelineau, 34 ans, surnommé « le saint de l’Anjou », homme de simple condition devenu généralissime des armées vendéennes (« l ‘Armée catholique et royale », 80 000 hommes).  Il avait été blessé deux semaines plus tôt en tentant de prendre Nantes, après avoir libéré Angers. Ses trois frères mourront aussi face aux Républicains.

« Les Vendéens demandent à Cathelineau de prendre la tête de l’insurrection », peinture de Jules Gabriel Hubert-Sauzeau, 1900.

► pour explorer le thème des guerres de Vendée et de la chouannerie (et la figure de Cathelineau) : quelques livres suggérés.

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C’était un 13 juillet…

1191 : les croisés, avec à leur tête Philippe Auguste et Richard Coeur de Lion, entrent dans saint Jean d’Acre, après une reddition négociée par Saladin (il s’engage notamment à rendre la Vraie Croix, prise à Hattin).

1380 : en Lozère, s’éteint le connétable de France Bertrand du Guesclin. Né près de Dinan, ce guerrier légendaire fut un serviteur providentiel des rois de France.

1789 : Réunion maçonnique en l’église saint Antoine, où l’insurrection du lendemain contre la Bastille est décidée, ainsi que sa démolition.

Parmi les participants les plus actifs, figure Pierre-François Palloy, un entrepreneur qui tentait depuis plusieurs mois d’obtenir l’attribution de la démolition de la Bastille, décidée par Louis XVI. (Source)

1793 : Charlotte Corday assassine le chef républicain Jean-Paul Marat, coresponsable de grands massacres et dont la soif de « châtiments » et de sang semblait inextinguible.
« Marat pervertissait la France. J’ai tué un homme pour en sauver cent mille, un scélérat pour sauver des innocents, une bête féroce pour donner le repos à mon pays… » dira courageusement la jeune femme de 24 ans devant le Tribunal révolutionnaire.
« Adieu mon cher papa, je vous prie de vous réjouir de mon sort. N’oubliez pas ces vers de Corneille : « Le crime fait la honte et non pas l’échafaud » écrira-t-elle quelques heures avant d’être guillotinée le 17 juillet suivant.
Le poète André Chénier (guillotiné le 25 juillet 1794, 3 jours avant Robespierre) écrira dans son ode « A Charlotte Corday » :
« Belle, jeune, brillante, aux bourreaux amenée,
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5e Dimanche après la Pentecôte – textes de la messe commentés

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivaient nos aïeux), avec leur commentaire.

« Épître et évangile se rejoignent pour inculquer fortement le devoir de la charité fraternelle. Justiciables devant Dieu de tout manquement à l’égard de nos frères, jusque dans nos sentiments les plus secrets, nous devons savoir rendre le bien pour le mal et pardonner du fond du cœur, si nous voulons nous-mêmes trouver accès auprès de lui.

En ces dimanches après la Pentecôte, les pièces de chant sont presque toujours un pressant appel au secours de Dieu en même temps qu’une paisible assurance dans sa protection. Parmi les oraisons d’aujourd’hui, la collecte est particulièrement belle ; elle redit à la fois la grande espérance chrétienne et implore de Dieu la grâce d’y parvenir par la force d’un amour capable d’unifier et de soulever notre vie.  »

Dom G. Lefebvre

TEXTES AVEC COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgiquedisponible ici avec ses autres livres)

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Les activités ignobles du pédocriminel Pierre-Alain Cottineau, militant gauchiste

Le Parisien a dévoilé des éléments de l’enquête concernant les agissement de Pierre-Alain Cottineau : cet « assistant familial » de la région nantaise avait organisé un véritable réseau pédo-criminel (« j’ai des enfants à disposition »).

Nous passerons sur les descriptions des actes horribles qui sont relatés : actes de sadisme et viols filmés sur des enfants de 3 ou 4 ans qui appellent au secours leur mère…

On notera que le journal de gauche choisi en photo d’illustration de son article (photo partagée sur ses réseaux sociaux) un portait extrait d’une photographie plus large :

Que donne la photo non tronquée?

Oups, on y voit la harpie communiste et député LFI Manon Aubry…

Sur internet, on trouve facilement d’autres photos illustrant les activités politiques de cet homme engagé dans les causes communistes (candidat LFI aux dernières élections départementales) et homosexualistes :

Quant au titre du Parisien
Rappelons, comme le dit un internaute, que « quand un mec qui connaît le beau-frère du plombier d’un pote d’une personne qui a croisé Marine Le Pen roule à 53 km/h au lieu de 50 c’est un « proche du Rassemblement National », mais quand un militant LGBT encarté chez LFI dirige un réseau pédocriminel, c’est juste « Pierre-Alain Cottineau » ».

Sinon, est-ce une bonne idée de confier des enfants – comme l’a fait la sinistre ASE – à des « familles d’accueil » constituées d’un homme seul (ou de deux hommes), qui plus est ouvertement militants « LGBT » ?
Nous éviterons de répondre clairement pour des raisons de censure légale. Mais quel genre d’homme rêve de s’occuper à plein temps d’un petit enfant qui n’est pas le sien ?!
Ce système est vraiment tordu, mais pour le corriger, il faut remettre en cause l’idéologie (égalitarisme, libéralisme moral, homosexualisme…) du régime…