Cette journée de 1793, quelques jours seulement après le début du soulèvement des paysans vendéens, ceux-ci sont parvenus à s’organiser et à se trouver des chefs en les personnes de Jacques Cathelineau (simple colporteur et sacristain de Pin en Mauges) et de Jean-Nicolas Stofflet (garde-chasse).
L’« Armée catholique et royale », dont de nombreux membres ne sont armés que de faux, parvient, ce jour du 14 mars 1793, à prendre Cholet, ville importante.
Les 3 pôles d’insurrection vendéenne :
* L’armée du Marais autour de Léger
* L’armée d’Anjou autour de Cholet
* L’armée du centre dans le bocage
Après cette première prise de Cholet et avec un chef à son image, l’armée paysanne progresse vers Chalonnes-sur-Loire (au sud d’Angers) puis Thouars. Cette victoire provoque le soulèvement de toute la Vendée sous les drapeaux de l’insurrection.
La Guerre de Vendée, que Napoléon qualifiera de Guerre de géants a commencé…
Six mois après la prise de Cholet, les Bleus emmenés par Kléber et Marceau, parviendront à récupérer la cité, après des combats acharnés.
En mars 1794, Stofflet reprend la ville. Louis Turreau la fera alors entièrement brûler…
Au premier plan, le cadavre de Condé juché sur un âne. À l’arrière-plan, la défaite des protestants (représentés, en tant qu’hérétiques, comme des « singes du diable ») à l’issue de la bataille de Jarnac. Enluminure du manuscrit Carmen de tristibus Galliae, 1577
• 1569: bataille de Jarnac entre l’armée royale et les huguenots français.
Au cours de la 3e guerre de religion, le Lieutenant-général du Royaume Henri d’Anjou (futur Henri III) passe sur la rive droite de la Charente et surprend les Huguenots, installés dans Jarnac.
Leur chef Condé charge avec toute sa cavalerie. Il se fait encercler et sa cavalerie est anéantie. Lorsqu’il veut se rendre au Duc d’Anjou, il meurt d’un coup de mousquet. Gaspard de Coligny réussit à se replier avec 6 000 de ses soldats sur La Rochelle. Victoire royale.
Le futur Henri IV (dans l’armée huguenote) ayant appris la mort du prince de Condé se jette au plus fort de la mêlée et en est retiré de force par ses officiers. Ouvrant son pourpoint à cause de la chaleur il laisse entrevoir un … scapulaire à l’effigie de Notre Dame. La vue de cet objet catholique stupéfia tellement son entourage que sa mère, la dure Jeanne d’Albret, dut expliquer que ce scapulaire a été mis autour du cou du futur roi le jour de sa naissance.
Eric Zemmour avait été relaxé en première instance, puis par la cour d’appel, face aux habituelles associations de police de la pensée.
Son affirmation avait été partagée auparavant par de nombreux historiens, s’appuyant sur des sources solides. Mais elle déplaît à certaines personnes pour des raisons idéologiques.
La Cour de cassation avait finalement décidé qu’on n’avait pas le droit de dire cela, non plus, en France, obligeant donc la cour d’appel à le condamner.
Rappel des faits, puis remarque :
« […] Éric Zemmour avait été cité devant le tribunal après des propos tenus le 21 octobre 2019, lors d’un débat dans l’émission «Face à l’info» dont il était le chroniqueur vedette sur CNews, avec Bernard-Henri Lévy. «Un jour (…) vous avez osé dire que Pétain avait sauvé les juifs», avait déclaré BHL. «Français, précisez, précisez, français», l’avait interrompu Éric Zemmour. «Ou avait sauvé les juifs français. C’est une monstruosité, c’est du révisionnisme», avait poursuivi M. Lévy. «C’est encore une fois le réel, je suis désolé», lui avait répondu M. Zemmour. Continuer la lecture de « Eric Zemmour condamné après avoir soutenu que Philippe Pétain avait « sauvé les juifs français » pendant la Deuxième guerre mondiale »
Oups, encore un homme incarnant la « vertu » – selon les fausses valeurs de la société moderne – qui se fait attraper par la justice, mais rassurez-vous, quasiment pas condamné…
On découvre dans un entretien du Figaroavec deux journalistes qui ont enquêté sur la prostitution de très jeunes filles le parcours de l’une d’elles :
« Clara a vécu dans l’un des pires foyers de Marseille, le Peps 13. C’est le seul qui accepte toutes les filles, même celles qui ont été renvoyées d’autres structures ou qui se sont prostituées. Cette adolescente d’origine bulgare a eu une vie cabossée. Elle a été abandonnée par ses parents, a été trimballée dans plusieurs familles d’accueil. Ce sont ses amies du foyer qui la poussent à se prostituer et elle se laisse embarquer. Puis elle se rend compte que l’une d’elles la force, la frappe, la menace. Alors elle se révolte et porte plainte contre un de ses clients… un homme de 50 ans, qui dirigeait une organisation humanitaire pour les demandeurs d’asile. Auprès d’elle, il se faisait passer pour un médecin et la payait en cocaïne.
C.A. Lors du procès, le client niait en bloc les rapports sexuels et la minorité de Clara. Alors le procureur a montré une photo d’elle en petite robe à fleurs ; il était impossible de penser qu’elle était majeure, on aurait dit qu’elle sortait de l’école primaire. Au final, le client n’a écopé que de dix-huit mois de prison avec sursis, dont six mois de sursis probatoire. Les peines sont toujours particulièrement faibles, alors que l’on devrait parler de viol, les victimes n’ayant pas 15 ans. Or, les clients, qui viennent de tous milieux, ont la même défense : ils disent ne pas savoir que la prostituée était mineure. »
C’était la belle vie : multipropriétaire, des revenus confortables, plusieurs mandats électifs, une voiture avec chauffeur et, par-dessus le marché, un logement social à Paris.
Le président (divers droite) du conseil départemental de la Somme Stéphane Haussoulier a été forcé de démissionner en décembre dernier après sa condamnation pour détournement de fonds publics, escroquerie abus de confiance et blanchiment (367.000€ d’argent public). L’élu payait notamment des clubs de strip-tease aux frais du contribuable et avait demandé le remboursement en double, voire en triple, de 173 notes de frais (alcool, nourriture, spas…).
Il a par ailleurs été condamné définitivement pour des faits de favoritisme lors de la passation d’un marché public. Stéphane Haussoulier vient aussi de recevoir une assignation à comparaître au tribunal de la part de la Régie immobilière de la ville de Paris à la suite des révélations de Mediapart sur l’existence d’un appartement social dont il bénéficie depuis 25 ans. L’audience doit se tenir le 28 mai prochain au tribunal judiciaire de Paris. Lors de son parcours politique, Stéphane Haussoulier s’est présenté successivement à divers scrutins sous les couleurs de l’UDF, de l’UMP puis de LR (Les Républicains), et s’est finalement rapproché du camp macroniste. En 2023, Emmanuel Macron lui a remis la Légion d’honneur et lui a même confié une mission nationale sur l’enfance et le handicap… (source)
Voici un beau spécimen de politicien, cette caste qui impose des lois iniques, lève des impôts dépouilleurs, et se permet en plus de donner des leçons de morale.
Le 11 mars 1963 était fusillé au Fort d’Ivry le lieutenant-colonel Jean-Marie Bastien-Thiry, 36 ans et père de trois enfants, condamné par un tribunal d’exception aux ordres du général de Gaulle.
Polytechnicien, il avait inventé deux missiles anti-chars.
Il avait organisé l’attaque du Petit-Clamart, pour en finir avec De Gaulle qui avait trahi le peuple, livrait l’Algérie française aux mains des égorgeurs et avait liquidé le camp nationaliste en France.
Fervent catholique, il justifiait cette action par la légitimité du tyrannicide (théorisée par Saint Thomas d’Aquin).
Un très bon petit livre constitue une bonne synthèse sur ce sujet : Jean Bastien-Thiry, De Gaulle et le tyrannicide, par l’abbé Olivier Rioult (cliquer ici).
Bastien-Thiry marcha vers le peloton chapelet à la main, laissant derrière lui une forte impression, et l’image d’un héros français et chrétien qui avait porté jusqu’au bout l’idéal du sacrifice.
• 1793: à la suite de la décision de la levée en masse de 300 000 hommes à Saint Florent le Vieil, début de la guerre de Vendée, dont la première partie va durer jusqu’au 21 décembre de la même année.
Ce même jour, création du Tribunal révolutionnaire. Une seule alternative : l’acquittement ou la mort. Quelques statistiques sur Paris uniquement : 20% des suppliciés sont des nobles, 9% des membres du clergé, et 71% sont des ouvriers, des artisans ou des paysans. (livres sur ce thème ici)
• 1861: prise de Saïgon par les troupes françaises.
• 1945: Tokyo est bombardée, de minuit à trois heures du matin, par 279 avions américains portant chacun 7 à 8 tonnes de bombes incendiaires. Bilan : entre 200 000 et 250 000 morts et disparus.
• 1962: attentat (faussement) attribué à l’OAS, contre le local du Parti communiste à Issy-les-Moulineaux. Il s’agissait en fait d’une provocation gaulliste.
Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel), avec commentaire.
« La scène de la tentation, qui ouvre la vie publique de Jésus, proclame d’une manière saisissante, dans les évangiles, le renversement de situation qu’il va introduire dans le monde par son œuvre de rédemption. Là où Adam avait succombé, le Christ, nouveau chef de l’humanité, triomphe à jamais du pouvoir de Satan : à l’heure de la passion, le « prince de ce monde » sera jeté dehors. Placé en tête du Carême, au premier dimanche, l’évangile de la tentation proclame d’avance la victoire du Christ, qui doit être notre victoire. La liturgie du Carême est commandée par cette pensée ; elle est tout entière une liturgie de confiance. Le psaume 90, qui est par excellence le psaume de la confiance, fournit le trait et tous les chants de la messe, comme il fournira tous les versets de l’office jusqu’au temps de la passion. »
Dom G. Lefebvre
INTRODUCTION sur les dimanches de Carême
PUIS COMMENTAIRE sur ce 1er dimanche
par DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgique – disponible ici avec ses autres livres) :
• 1661: à l’occasion de la mort de Mazarin, Louis XIV décide d’être son propre premier ministre. Il effectue une entrée fracassante au Conseil, en tenue de chasse, fouet à la main. Ces objectifs, avec Colbert, sont de faire rendre gorge aux profiteurs et de ramener la noblesse à la cour.
• 1831: le roi Louis-Philippe 1er fonde la Légion étrangère, en vue d’encadrer les recrues étrangères, à commencer par les mercenaires suisses. Il renoue ce faisant avec la tradition des régiments étrangers attachés aux rois de France. C’est en Algérie que la légion s’illustre pour la première fois, sous la devise : « Honneur et Fidélité », avant d’acquérir ses lettres de noblesse à Camerone (Mexique).
• 1945 : à l’initiative de ses nombreux responsables ayant appartenu à la Résistance, le très important « Parti social français » de François de la Rocque doit tenir son congrès, mais le gouvernement provisoire de De Gaulle annonce que le PSF est et demeure dissous.
Or, en fait, l’Union interfédérale du PSF a été dissoute par le général allemand Oberg le 2 novembre 1942. Malgré une ordonnance de non-lieu du 22 mai 1946, la formation légale et légaliste du colonel de la Rocque (lui-même arrêté par la Gestapo début 43 et interné jusqu’à la fin de la guerre) demeurera interdite par le pouvoir gaulliste pour empêcher la renaissance d’un parti nationaliste.
Signalons que des mémoires (carnets de captivité) du général de La Rocque ont été récemment publiés (voir ici).
• 1945 : les 9 et 10, coup de force japonais en Indochine. 60 000 Japonais attaquent perfidement 12 000 Français des garnisons de Langson, Hanoï, Hué, Saïgon.
Arrestation des amiraux Decoux et Bérenger, du général Aymé, etc. Massacre à Langson. Décapitation du général Lemonnier et du résident Auphelle. La colonne Alessandri amorce son repli vers la Chine.
Plusieurs milliers d’Européens (et davantage encore d’indigènes profrançais) mourront durant ces 48h ou pendant l’inhumaine captivité qui suivra.
Cette action japonaise va semer le chaos en Indochine, promouvoir le Viet-Minh communiste et porter un rude coup à la présence coloniale de la France – dont l’administration est totalement désorganisée – dans le Sud-Est asiatique. Voir détails de cette horrible journée en fin d’article.
Prisonniers français, à Lang Son, avant leur massacre
• 1971 : à l’issue d’un meeting d’Ordre nouveau, au Palais des sports de la porte de Versailles, de violents incidents opposent militants nationalistes et opposants gauchistes.
« Ou plus exactement la journée marxiste-léniniste de la femme, puisque c’est Lénine qui a décrété en 1921 que le 8 mars serait la journée internationale de la femme.
« 8 mars, jour de rébellion des travailleuses contre l’esclavage de la cuisine », peut-on lire sur l’affiche soviétique ci-dessus : une « travailleuse » tend la main à une femme écrasée par les tâches domestiques (et par une icône de la Théotokos) pour la « libérer », en l’envoyant travailler à la chaîne en usine…
En ce mercredi des Cendres, l’équipe de Contre-Info souhaite à tous ses lecteurs catholiques un bon carême, dont vous entendrez peu parler dans les gros médias.
Le mercredi des Cendres marque le début du carême : 40 jours de jeûne et de pénitence (suivant l’exemple du Christ qui les vécut dans le désert) qui précèdent les fêtes de Pâques, point culminant de l’année liturgique.
Les catholiques se font « imposer les cendres » (c’est-à-dire marquer d’une croix sur le front), elles-mêmes produites à partir des rameaux bénis l’année précédente, ce qui évoque symboliquement la mort qui nous attend tous :
« souviens-toi, ô homme, que tu es poussière et que tu retourneras en poussière ».
Pour des livres permettant de vivre au mieux cette période, voir ici.
Le Carême commençant signalons l’existence de quelques livres, utiles pour vivre au mieux cette période et progresser à cette occasion, et qu’on peut trouver dans la rubrique Carême / Pâques de la Librairie française (cliquer ici).
Signalons notamment le fascicule intitulé le Carême pour les jeunes, de l’abbé Boubée : une très bonne idée, à petit prix.
Ou encore l’excellent petit livre signé de l’abbé Troadec, Le Carême au jour le jour : il propose des « lectures et méditations quotidiennes pour prier seul ou en famille » durant cette période, afin de mieux « monter vers Pâques ».
D’un format et d’une présentation très pratiques, c’est un précieux soutien pour vivre chrétiennement cette période de 40 jours qui mène à Pâques.
En janvier 1794, le général Turreau, responsable des « colonnes infernales », écrivait à la Convention nationale (c’était donc officiel) : « il faut prendre de grandes mesures, il faut exterminer tous les hommes qui ont pris les armes, et frapper avec eux leurs pères, leurs femmes, leurs sœurs et leurs enfants. La Vendée doit n’être qu’un grand cimetière national. »
Le , tuant et incendiant sur leur passage, les colonnes des généraux républicains Cordellier et Crouzat se dirigent vers le village des Lucs-sur-Boulogne.
Mais sur le chemin, ils sont attaqués et mis en fuite par les troupes royalistes et catholiques de Charette.
Cependant, après sa victoire, Charette, obligé de pratiquer la guérilla, doit se retirer.
Martincourt, un lieutenant de Cordellier, s’en aperçoit et après avoir rallié plusieurs fuyards, se dirige vers le village des Lucs (alors divisé en deux paroisses : le Grand-Luc avec deux mille habitants et le Petit-Luc, avec une centaine d’habitants) avec l’intention d’y exercer des représailles.
Face à l’arrivée des colonnes, une partie de la population court se réfugier dans la chapelle du Petit-Luc alors qu’une autre partie a déjà été massacrée.
Les villageois ne sont guère en mesure de se défendre : la population présente compte principalement des vieillards, des femmes, des enfants dont 109 avaient moins de 7 ans.
L’abbé Voyneau, curé du Petit-Luc, se présente alors aux soldats sur le chemin de la Malnaye : ceux-ci se saisissent de lui, le torturent et l’éventrent.
Martincourt, le chef des Républicains, décide de ne pas faire de quartier. La chapelle étant trop petite pour contenir toute la population, les soldats ouvrent le feu sur les personnes à l’extérieur, puis afin d’économiser les cartouches, lancent une charge à la baïonnette massacrant et achevant les blessés. Les survivants se barricadent à l’intérieur de la chapelle, les Républicains incendient alors l’église.
Un soldat républicain, nommé Chapelain, écrit dans une lettre :
« Aujourd’hui journée fatigante, mais fructueuse. Pas de résistance. Nous avons pu décalotter à peu de frais toute une nichée de calotins. Nos colonnes ont progressé normalement. »
On retrouvera plus tard un document du curé du Grand Luc : « Lesquels noms ci-dessus — au nombre de 564 — des personnes massacrées en divers lieux de la paroisse du Grand-Luc, m’ont été référés par les parents échappés au massacre, pour être inscrits sur le présent registre, autant qu’il a été possible de les recueillir dans un temps de la persécution la plus atroce, les corps morts ayant été plus d’un mois sans être inhumés dans les champs de chaque village du Luc : ce que j’atteste comme trop véritable, après avoir été témoin oculaire de ces horreurs et exposé plusieurs fois à en être aussi la victime. Au Luc, ce 30 mars 1794. C. Barbedette, curé du Luc. »
Les noms des 109 enfants des Lucs-sur-Boulogne de moins de 7 ans, massacrés par les troupes républicaines, le 28 février 1794 :
• 1796: Nicolas Stofflet, l’un des principaux chefs militaires vendéens, est fusillé par les républicains.
Avant de mourir, il donne sa montre à un soldat du peloton d’exécution, d’origine lorraine comme lui. Les républicains lui coupèrent la tête afin de l’exhiber dans la ville d’Angers…
• 1916 : les Allemands pénètrent dans le fort de Douaumont, pratiquement désert, considéré par l’état-major comme « impropre au combat » en 1915. Les Allemands réarment aussitôt le fort, la ligne de front se stabilisant aux alentours. Sa reprise par les Français coûtera près de 100 000 hommes. L’ossuaire de Douaumont, surmonté d’un feu perpétuel, renferme les restes de 300 000 combattants.
• ce même jour, le général de Castelnau, qui a reçu les pleins pouvoirs du général Joffre, confie au général Pétain le commandement de la région fortifiée de Verdun et des forces arrivant sur les deux rives. Il a une liberté complète de mouvement, et autant que possible, tous les moyens qu’il demandera.
• 1919:
à Tchita (Transbaïkalie), en présence d’un officier japonais, conférence, jusqu’au 28, entre Sémenov, le « baron fou » Ungern et des nationalistes mongols en vue de la création de la Grande Mongolie, du lac Baïkal au Tibet. Continuer la lecture de « C’était un 25 février… »
Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le connaissaient nos ancêtres), suivis de commentaires.
« Dans les chants de la messe, mêmes accents de détresse mais aussi de confiance que dimanche dernier. L’Épître a été choisie à cause de la station à Saint-Paul-hors-les-murs ; c’est un des plus beaux morceaux de saint Paul : on y sent passer toute l’âme du grand apôtre. L’Évangile de la semence montre Dieu à l’œuvre dans le monde comme un semeur de bon grain, mais dit aussi les conditions nécessaires pour que ce bon grain porte en nous tout son fruit. ».