Dans la nuit du 17 janvier 1871, tandis que fait rage la guerre franco-prussienne et que les Allemands avancent vers Laval, la neige couvre le village de Pontmain, en Mayenne.
Deux jeunes garçons, Eugène (12 ans) et Joseph Barbedette (10 ans), aident leur père à piler les ajoncs dans leur grange.
Eugène sort de la grange pour « voir le temps ».
C’est alors qu’il déclare avoir aperçu au-dessus de la maison d’en face une « belle dame » à la robe constellée d’étoiles, qui le regarde en souriant, les mains tendues.
À ses cris, les villageois accourent et d’autres enfants déclarent voir la « belle dame ». Ils assurent qu’un ovale bleu avec quatre bougies éteintes est venu entourer la dame. L’abbé Guérin, curé du village, organise une veillée de prière autour des enfants qui, seuls, voient l’apparition.
• 395 : Théodose meurt à Milan. Ses deux fils lui succèdent : Arcadius devient empereur d’Orient et Honorius, celui d’Occident. Dès lors, le partage de l’Empire est réalisé (la frontière traversant les Balkans et la Libye).
• 1377 : la papauté est transférée d’Avignon à Rome.
• 1793 : durant la séance de la Convention nationale, les députés votent quant au sort de Louis XVI. 361 conventionnels (dont 122 francs-maçons) votent la mort sans condition, contre 360 (dont 16 francs-maçons).
• 1941 : victoire navale française (avec l’Etat français du Maréchal Pétain) lors de la bataille de Koh Chang dans le Golfe de Thaïlande, face à la flotte thaïlandaise, qui est entièrement détruite.
• 1957: à Alger, le siège de l’état-major du général Salan, commandant des forces armées, est partiellement détruit par une attaque au bazooka. L’attentat fait un mort, le commandant Rodier, chef-adjoint du cabinet de Salan et deux blessés.
Cette tentative d’assassinat a été fomentée en amont par les gaullistes – Michel Debré notamment – qui ont manipulé des patriotes de l’Algérie française.
« Comme si le vieux leader d’extrême droite, cofondateur du Front national en 1972, avait changé dans ses dernières années, tournant le dos à une vie de racisme et d’antisémitisme… Et, pourtant, il n’en était rien : Le Pen n’a jamais cessé d’être Le Pen ; […] »
« Des entretiens réguliers, enregistrés avec son accord, quimontrent Jean-Marie Le Pen tel qu’il a toujours été : homophobe, raciste, antisémite. »
« Son rôle en Algérie a disparu des éloges funèbres au RN. Sa pensée raciste et antisémite aussi. »
« En réalité, contrairement à ce que distillent les dirigeants du parti d’extrême droite, il n’a jamais cessé de cibler les juifs […] »
Autant d’affirmations grossièrement mensongères, comme le savent tous ceux qui ont un peu lu, écouté ou rencontré Jean-Marie Le Pen.
Il est aussi beaucoup reproché à JMLP d’avoir, pendant la guerre d’Algérie (lors de laquelle il a quitté son confortable siège de député pour aller défendre les Français et musulmans attaqués par les terroristes du FLN), manqué de tact en interrogeant des personnes lourdement suspectées d’assassiner à la bombe ou couteau des civils, des femmes, des enfants…
Quelle personne normale pourrait en vouloir à ces militaires qui, sous les ordres du général Massu, ont vaincu les terroristes à Alger? Au contraire, évidemment ! Mais le Monde, comme la gauche en général, marche sur la tête, et tout ce qui est antifrançais s’attire par principe ses faveurs.
Signalons ce passage, aussi, très révélateur de l’immoralité totale de ce journal :
Avant de nier clairement l’existence des chambres à gaz : « Le négationnisme est une opinion, assure-t-il. Vous avez le droit de ne pas croire en Dieu, mais pas aux camps de concentration. »
Trippenbach aussi analphabète ou malhonnête qu’arrogante (voir sa photo de profil sur X) ose écrire : « Avant de nier clairement l’existence des chambres à gaz », juste avant une phrase qui ne dit rien de tel !
Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivaient nos ancêtres).
« Cette fête se célébrait en Orient dès le IIIe siècle et elle pénétra en Occident vers la fin du IVe siècle. – Le mot « Épiphanie » signifie : manifestation. Comme à Noël, c’est le mystère d’un Dieu qui se rend visible : mais ce n’est plus aux Juifs seulement qu’il se montre : « c’est aux Gentils qu’en ce jour Dieu révèle son Fils par l’apparition d’une étoile. » (Or.) – Et Isaïe aperçoit l’Église figurée par Jérusalem où « afflue la multitude des Gentils qui viennent de loin en apportant de l’or et de l’encens » (Ép.), c’est-à-dire leur amour et leur religion. L’Évangile montre la réalisation de cette prophétie. »
[note : dom Guéranger fait d’abord une longue présentation historique et théologique de cette fête. Pour aller directement aux textes de la messe commentés, descendre jusqu’à la partie intitulée « A LA MESSE »]
« La Fête de l’Épiphanie est la suite du mystère de Noël ; mais elle se présente, sur le Cycle chrétien, avec une grandeur qui lui est propre. Son nom qui signifie Manifestation, indique assez qu’elle est destinée à honorer l’apparition d’un Dieu au milieu des hommes !
Ces dernières semaines, l’extrême-gauche, encouragée par la percée politique de LFI aux dernières législatives et toujours choyée par les médias, multiplie les actions ignobles, notamment l’atteinte aux morts.
• 1886 : le général Boulanger devient ministre de la Guerre. Il le demeure jusqu’au 30 mai 1887, cristallisant sur son nom les activistes à la fois républicains, communards et nationalistes. (Émission sur Boulanger ici).
• 1893: dans La Cocarde, Edouard Drumont révèle que 104 députés républicains (les « chéquards ») ont été achetés par la compagnie du canal de Panama pour l’obtention du contrat de perçage. Énorme scandale. Brillant discours à l’Assemblée de Maurice Barrès. Mais seuls Ferdinand de Lesseps et son fils Charles seront condamnés pour corruption.
• 1944: mort à 10h50 d’Eugène Deloncle, abattu par des policiers français au service du SD allemand, à son domicile.
Polytechnicien, ancien combattant (Légion d’honneur en 1915) et père de « La Cagoule », il venait de fonder le Mouvement Social Révolutionnaire.
Pour découvrir la Cagoule, on lira avec profit l’article paru dans le n°8 de la revueL’Héritage.
Charles d’Orléans recevant hommage d’un vassal. Lettrine ornée, xve siècle, Paris
• 1465: mort de Charles d’Orléans à Amboise.
Ce prince de France – fils du frère du roi –, capturé lors de la bataille désastreuse d’Azincourt, en 1415, demeura prisonnier des Anglais durant 25 ans.
C’est pour charmer l’ennui de sa captivité qu’il devint poète, cultivant la galanterie raffinée sous une pointe de mélancolie.
Libéré en 1440, il entreprit de conquérir le Milanais, qu’il tenait de droit par sa mère, mais ne put se rendre maître que du comté d’Asti. Il s’établit alors à Blois, où il tint une cour lettrée.
Il laisse une centaine de ballades, autant de chansons, et environ 400 rondeaux.
« Été revêt champs, bois et fleurs
De sa livrée de verdure
… Mais vous, Hiver, trop êtes, plein
De neige, vent, pluie et grésil
… Hiver, vous n’êtes qu’un vilain ! »
En fin d’article retrouvez sa fameuse Complainte de France.
Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivaient nos ancêtres).
« « Au nom de Jésus-Christ de Nazareth, lève-toi et marche… Frères, sachez-le, il n’est aucun autre nom parmi ceux qui ont été donnés aux hommes, qui doive nous sauver. » (S. Pierre, à Matines et dans l’épître de la messe). Le nom de Jésus signifie Sauveur ; il n’y a en effet de salut qu’en lui. La messe et les vêpres célèbrent tout ensemble la sainteté, la puissance et la douceur du nom de Jésus. Objet de l’amour des chrétiens, le nom de Jésus est pour eux d’une douceur incomparable ; mais pour chacun des chrétiens comme pour tous les hommes, il reste »le nom saint et redoutable », « le nom qui est au-dessus de tout nom », parce que celui qui le porte est le Dieu trois fois saint en même temps que le Sauveur du monde. »
[note : dom Guéranger fait d’abord une longue présentation historique et théologique de cette fête. Pour aller directement aux textes de la messe commentés, descendre jusqu’à la partie intitulée « A LA MESSE »]
Le deuxième Dimanche après l’Épiphanie, qui rappelle le festin des noces de Cana, fut d’abord choisi pour célébrer cette fête. C’est au jour nuptial que le nom de l’Époux devient propre à l’Épouse : ce nom désormais témoignera qu’elle est à lui. L’Église, voulant honorer d’un culte spécial un nom pour elle si précieux, en unissait donc le souvenir à celui des Noces divines. Aujourd’hui, elle rapproche de l’anniversaire même du jour où il fut donné, huit jours après sa naissance, la célébration de ce Nom auguste, et laisse à la commémoration des Noces sacrées le Dimanche dont de tout temps cette commémoration fut la gloire.
Sainte Geneviève*, née à Nanterre en 423 (et décédée en 512), voue très jeune sa virginité à Dieu.
Elle est très vite remarquée par saint Germain d’Auxerre et saint Loup de Troyes, qui passent par Nanterre en 429 (elle n’a que six ans), à l’occasion de leur voyage vers la province romaine de Bretagne (Grande-Bretagne actuelle).
Elle mène une vie consacrée et ascétique, probablement dès ses seize ans.
De son père, franc, dont elle est la fille unique, elle a une charge de membre du conseil municipal de Paris.
Lors du siège de Paris par les Huns, en 451, elle convainc, aidée par sa grande force de caractère, les Parisiens de ne pas abandonner la ville (leur sauvant probablement la vie car toute fuite aurait été très périlleuse) :
« Que les hommes fuient s’ils veulent, et s’ils ne sont plus capables de se battre. Nous, les femmes, nous prierons Dieu tant et tant qu’Il entendra nos supplications. »
La capitulation de Grenade, par Francisco Pradilla y Ortiz : Boabdil remettant les clès de Grenade à Ferdinand II d’Aragon, et Isabelle Ire de Castille.
Ce jour-là, la reprise de la ville de Grenade, en Andalousie, marque la fin officielle de la Reconquista, grâce à l’aide de nombreux chevaliers gascons.
La péninsule ibérique est entièrement libérée du joug mahométan après 880 ans de guerre.
Grenade était le dernier bastion musulman mais, deux ans avant à peine, ce royaume s’étendait de la Sierra à la mer.
Si les occupants avaient été plus malins, ils auraient inventé l’expression « vivre-ensemble » pour justifier leur invasion et leur présence…
Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le connaissaient nos ancêtres).
« « Nul n’est esclave, mais fils, et s’il est fils il est aussi héritier, par la grâce de Dieu » (Ép.). Voilà toute la portée de la venue du Christ en ce monde, dans le silence de la nuit où nous étions plongés (Intr.). Reste à accueillir dans notre vie, comme Siméon et Anne l’ont accueilli dans le Temple, celui que chacun, pour son salut ou pour sa perte, accueille ou rejette, véritable « signe de contradiction » (Év.). »
« Nous avons démontré plus haut que la Nativité du Sauveur s’est opérée le jour du Dimanche, qui est celui où Dieu créa la lumière. Ce sera aussi le Dimanche que nous verrons le Christ ressusciter. Ce premier jour de la création, qui est, en même temps, le premier jour de la semaine, était consacré au Soleil chez les peuples anciens ; il est devenu sacré à jamais par le double lever du Soleil de justice : Noël et Pâques le réclament tour à tour. Continuer la lecture de « Messe du Dimanche dans l’Octave de la Nativité (textes et commentaires) »
Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à cette fête (rite catholique traditionnel). Pour les autres textes des messes (il y en a plusieurs) et offices de Noël avec leur commentaire, voir ici.
« La messe de minuit rappelle plus spécialement la naissance temporelle de Jésus dans son avènement de grâce : « Marie mit au monde son Fils premier-né. » (Év.) — Elle parle toutefois aussi de la naissance éternelle du Verbe « engendré dès avant l’aurore des temps » (Grad. et Comm.) et qui se manifestera à tous les élus lorsque, à la fin du monde, aura lieu « l’apparition glorieuse de notre grand Dieu » (Ép.). — Elle rappelle enfin la naissance spirituelle de Jésus dans nos âmes qui se manifeste par l’exercice des vertus : « soyons zélés pour les bonnes œuvres » (Ép.), « afin de ressembler à Jésus en qui la nature humaine est unie à la nature divine ». (Secr.) — Naissons à la vie divine sur terre, en participant « au saint mystère de la Nativité de Notre-Seigneur » afin de jouir de sa vie éternelle au ciel. (Or., Post.) »
Il est temps, maintenant, d’offrir le grand Sacrifice, et d’appeler l’Emmanuel : lui seul peut acquitter dignement envers son Père la dette de reconnaissance du genre humain. Sur notre autel, comme au sein de la crèche, il intercédera pour nous ; nous l’approcherons avec amour, et il se donnera à nous.