7 août 1932 : « loi des épis » et génocide ukrainien

holodomor_v1Le 7 août 1932, le gouvernement de l’URSS promulgue une loi qui punit de dix ans de déportation, voire de la peine de mort, « tout vol ou dilapidation de la propriété socialiste », y compris le simple vol de quelques épis dans un champ.

Cette « loi des épis » survient alors que les campagnes soviétiques connaissent un début de famine du fait des réquisitions forcées par le pouvoir et de la « dékoulakisation » (élimination des paysans considérés comme riches).

On estime qu’en Ukraine, au moins six millions de paysans vont mourir de faim dans les mois suivants, de par la responsabilité des autorités communistes.
Cette « Grande famine » (« Holodomor », « extermination par la faim » en ukrainien), intentionnellement entretenue et amplifiée par Staline (qui s’appuyait sur de nombreux cadres soviétiques juifs – d’où un ressentiment longtemps tenace des Ukrainiens envers cette communauté) est assimilée à un génocide par la plupart des historiens ainsi que par les Ukrainiens.

C’était un 6 août… : Hiroshima, la « charge de Reichshoffen »…

• 1945 : bombardement de la ville japonaise d’Hiroshima, par les Etats-Unis, alors que le Japon était en train de perdre la guerre.
Une première dans l’histoire de l’humanité. Environ 100 000 civils tués.

Le Monde évoquera d’abord ce crime comme « une révolution scientifique »…

• 1870 : la charge de Reichshoffen.

« La charge des cuirassiers » tableau de Théodore Levigne peint en 1878

C’est sous ce nom qu’est rentré dans le mythe français cet épisode tragique de la guerre franco-prussienne.

Ce jour-là, en Alsace, la bataille fait rage, principalement sur les territoires des communes de Woerth, de Frœschwiller et de Morsbronn.

Le nom de Reichshoffen est passé à la postérité car l’état-major de Mac-Mahon s’y trouvait ainsi que plusieurs escadrons de cuirassiers (cavalerie lourde) qui y étaient basés et qui s’illustrèrent dramatiquement pendant la bataille.

Courageusement, les Français se battirent à un contre quatre et les fameux « cuirassiers de Reichshoffen » (de la brigade Michel) se sacrifièrent héroïquement lors de grandes charges contre les Prussiens qui les piégèrent et qui les abattirent quasiment à bout portant ; comme ce fut notamment le cas à Morsbronn, où les cuirassiers chargèrent contre le village et s’engouffrèrent dans les rues étroites, s’offrant ainsi à l’ennemi embusqué dans les maisons.

La défaite des troupes françaises entraina la perte de la province, mais le sacrifice des cuirassiers permit la retraite de l’armée de Mac-Mahon, en bon ordre, au lieu du désastre initialement redouté.
Ci-dessous le récit épique de cet épisode, tiré du livre de Jules Mazé, L’Année terrible. Les étapes héroïques.
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C’était un 5 août…

1884 : pose, par la Grande Loge de New York, de la première pierre du piédestal de la statue de La liberté éclairant le monde, sur l’île Beldoe du port de New York.
Son auteur est le franc-maçon français Frédéric Auguste Bartholdi.
La statue (dans un rapprochement avec Lucifer, « le porteur de lumière ») symbolise l’expansion de l’idéologie maçonnique à travers la planète.
Et ce, si nécessaire à la lumière des bombes atomiques ou au phosphore…

1895 : mort de Friedrich Engels, philosophe communiste et mécène de Marx.
Coauteur de la plupart  de ses ouvrages, il ne travailla quasi jamais, étant le fils d’un très riche industriel luthérien du textile.
Il mena une existence schizophrénique, se séparant entre action révolutionnaire et exploitation de ses prolétaires.

Résultat de recherche d'images pour "jules lemaitre"1914 : décès de Jules Lemaître (né en 1853),  fondateur de la Ligue de la Patrie française (1898).
Cet important mouvement nationaliste fut créé en réaction à la sinistre « Ligue des droits de l’homme », dans le cadre de l’« affaire Dreyfus » – à laquelle il ne survécut d’ailleurs pas (tout comme la Ligue des patriotes de Paul Déroulède), étant dissout en 1904.
Lemaître était toutefois surtout antimaçon.
Agrégé de lettres, écrivain, critique littéraire et dramatique, académicien, il avait fait du mouvement qu’il présidait un repaire d’intellectuels, de personnalités mondaines, d’académiciens.

Intime de Léon Daudet, il avait rallié l’Action française en 1908.
Il laisse une œuvre diverse et solide dont Les contemporains (4 volumes), des contes et histoires de Noël et une biographie de Chateaubriand.

11e Dimanche après la Pentecôte – textes de la messe commentés

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivaient nos aïeux), avec leur commentaire.

« Les miracles du Sauveur sont plus qu’un simple signe de sa puissance et de sa bonté ; ils sont en même temps le symbole de ce que sa grâce opère à l’intime des âmes. L’ « Ephphetha » qui a guéri le sourd-muet, l’Église le redit sur chacun de nous au baptême : ouvre-toi pour entendre les promesses de Dieu, ouvre-toi pour les proclamer.
L’Église nous fait encore chanter aujourd’hui la toute-puissance et l’infinie bonté de Dieu, qui rassemble et réjouit son peuple par la protection qu’il lui donne (intr., offert.). Il nous a faits pour lui et connaît les besoins profonds de nos âmes ; il nous exauce au-delà même de nos désirs (coll.). C’est également la grâce divine qui  donne aux ministres de l’Évangile des possibilités d’influence et de rayonnement surnaturels qui ne peuvent venir que de l’Esprit de Dieu (Ép.). »

Dom G. Lefebvre

 

TEXTES AVEC COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgiquedisponible ici avec ses autres livres)

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4 août 1532 : traité d’union perpétuelle de la Bretagne et de la France

Armes de Louis XII et d’Anne de Bretagne

Les États de Bretagne, convoqués par François Ier à Vannes après le couronnement du dauphin comme duc de Bretagne à Rennes, adressent au monarque une supplique pour « unir et joindre par union perpétuelle iceluy pays et duché de Bretagne au royaume, le suppliant de garder et entretenir les droits, libertés et privilèges dudit pays et duché ».
Cette requête, présentée au roi dans la grande salle du palais épiscopal de la Motte, est acceptée par une lettre donnée à Vannes le 4 août 1532 :

Parodie LGBT de la Cène : un des pervers mime-t-il un égorgement auprès d’un enfant? (video)

Une nouvelle polémique a éclaté sur internet après la cérémonie d’ouverture, après que cette séquence a été repérée.
Lors de cette mise en scène soigneusement préparée, l’« artiste » subversif mime-t-il un égorgement auprès d’un enfant?

Déjà, rien que le fait de mêler des enfants à ces travestis et militants homosexuels (qui les enlaceront à un moment de la séquence) devrait révolter tout le monde et déclencher des enquêtes.

Le dîner d’Etat à Versailles pour recevoir Charles III a coûté 11 fois plus que l’équivalent en Allemagne

Dans son dernier rapport, la Cour des Comptes révèle que le seul dîner d’Etat à Versailles pour recevoir Charles III a coûté 475 000 €.

Image

Soit 11 fois plus que le dîner équivalent (43 000€) ou les 3 jours de visite (440 000€) en Allemagne.

Est-ce que le Parquet national financier va mettre son nez dedans ?
Non.

JO : des chrétiens d’Irak jeûnent pour expier la cérémonie d’ouverture

How is Epiphany celebrated in the Assyrian Church? — Embrace the Middle East

Plus sérieux que les évêques français, les chrétiens d’Irak – d’une ville persécutée par l’Etat islamique – entendent faire pénitence pour la cérémonie gaucho-LGBT de Paris qui a outré presque toute la planète.

« Les fidèles chrétiens de Mossoul, en Irak, ont été appelés ce lundi 29 juillet à jeûner par Younan Hano, l’archevêque syriaque catholique de la ville, en réaction à la cérémonie d’ouverture des jeux Olympiques de Paris du 26 juillet, qualifiée d’« insulte à la religion mais aussi à l’humanité ».

« Nous n’avons rien d’autre à offrir que la prière et le jeûne pour que Dieu pardonne cette grande insulte, a affirmé à l’AFP Younan Hano. Nous avons été choqués, alors que la France est un pays de laïcité et d’humanité, un pays qui respecte toutes les nationalités et toutes les religions, qu’un tel comportement offensant envers les symboles religieux vienne de ce pays. »

À la veille de cet appel, l’Église catholique chaldéenne d’Irak a aussi fait part de son émotion dans un communiqué, mentionnant que son patriarche, le cardinal Louis Raphaël Sako, principal dirigeant chrétien d’Irak, « se tient aux côtés de l’Église de France ». « Ce qui s’est passé durant la cérémonie (…) est honteux », blessant « la foi et les sentiments (…) des chrétiens dans le monde », a-t-elle mis en avant. […] » (Source)

Parodie dégénérée de la Cène : tentative de contre-feu autour d’un tableau

Alors qu’un grand émoi, en France et surtout à l’étranger, a été suscité par une mise en scène – de femmes et travestis exubérants, aux attitudes indécentes ou obscènes – qui ressemblait furieusement à une parodie du dernier repas du Christ (la Cène) représenté par Léonard de Vinci dans un tableau illustre, un contre-feu a été allumé sur les réseaux sociaux.

Pour désamorcer la crise, certains avancent avec conviction une thèse qui disculperait d’un blasphème et d’une provocation antichrétienne :

Beaucoup tombent trop facilement dans le panneau, d’autant que devant le tollé international, certains organisateurs rétropédalent.

Pour ce qui concerne la théorie du tableau de Van Biljert, œuvre qui est infiniment moins connue que celle de Léonard de Vinci (et n’est pas particulièrement fameuse, alors que ceux qui l’exhument font mine de prendre pour des incultes ceux qui la méconnaissaient, ce qui est une technique de manipulation minable) :
– d’une part elle s’inspire elle-même du fameux tableau de Vinci sur la Cène, elle le reprend !
C’est même précisé dans le musée où est exposée cette toile.
– d’autre part le ventripotent peint en bleu symbolisant Dionysos durant la cérémonie apparaît près de trois quarts d’heure après le début de la séquence blasphématoire…

Ceux qui décidaient de cette mise en scène laide et répugnante (avec des travestis se frottant à des enfants en arrière-plan) savaient très bien comment serait interprété leur tableau.
A travers le monde, de très nombreux chrétiens et même non-chrétiens compatissants ont exprimé leur indignation devant cette parodie antichrétienne. Même Mélenchon a déploré, avec une sincérité que nous ne connaîtrons qu’au Jugement dernier, cette attaque.
Même la lamentable et très mollassonne Conférence des Evêques de France a réagi, c’est dire !
La gauche la plus tarée, elle, se réjouit ouvertement, comme le « philosophe » médiatique Raphael Enthoven, qui parle de « Cène enwokée » :


D’autre part, tous les gros médias (le Monde, le Figaro, etc.) ont évoqué la Cène, en parlant de cette séquence.

France Télévision, le diffuseur de la cérémonie, se pâmait, en parlant de « mise en Cène » :

Quand absolument tout le monde comprend la même chose, c’est que le message est clair.

D’autre part, des intervenants directs ont eux-mêmes présentés leur ignoble prestation comme une représentation de la Cène !

Un travesti qui avait un rôle de premier plan et particulièrement indécent assumait au micro de BFMTV :

L’activiste subversive Barbara Butch a repris fièrement sur sa page Instagram  un message (le supprimant plus tard) assumant la moquerie :


Elle avait repris un autre message, plus blasphématoire encore, que nous ne retranscrirons pas.

Damien Gabriac, l’un des organisateurs de la cérémonie d’ouverture des JO, confirme la question de France Inter qui lui parle de « la Cène » :

Bref tout le monde a compris ce qu’il y avait à comprendre ; les tentatives de diversion relèvent de la mauvaise foi, et le rétropédalage de certains organisateurs, devant le tollé qu’ils ont suscité, ne fait qu’ajouter à leurs graves méfaits la lâcheté et le mensonge.

10e dimanche après la Pentecôte – textes de la messe commentés

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivaient nos aïeux), avec leur commentaire.

TEXTES AVEC COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgique – disponible ici avec ses autres livres)

L’humble et suppliante confiance que l’Église met dans le secours de son Époux, la préservera toujours des abaissements qui ont châtié la jalousie persécutrice et l’orgueil de la synagogue. Elle exhorte ses fils à l’imiter dans leurs sollicitudes, et ne cesse de faire monter vers le ciel les accents de sa prière.

Introït :
« Lorsque je criais vers le Seigneur, il a exaucé ma voix, me mettant à l’abri de ceux qui m’assiégeaient. Il les a humiliés, lui qui est avant tous les siècles et demeure à jamais. Jetez vos préoccupations aux mains du Seigneur, et lui-même vous nourrira. (Ps. 54, 17, 18, 20 et 23)
Exaucez, ô Dieu, ma prière et ne méprisez pas ma supplication, écoutez-moi et exaucez-moi. (Ps. ibid., 2.) »

Toujours sous l’émotion des justices éclatantes exercées contre le peuple juif, la Mère commune rappelle à Dieu que les merveilles de la miséricorde et de la grâce font ressortir encore plus sa toute-puissance ;
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Cérémonie d’ouverture des JO : wokisme, perversion et blasphème au menu

Une volonté acharnée de subversion.

La cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris a mis en œuvre de très importants moyens techniques et a duré quatre heures…

On pouvait s’attendre à du mauvais goût et quelques provocations, mais les organisateurs y sont allés fort, avec plusieurs séquences brutalement wokistes (c’est-à-dire gauchistes), obscènes, perverses ou carrément blasphématoires…

En termes politiques, le mélenchonisme et le macronisme qui dominent les sphères médiatique, politique et culturelle, sont pleinement satisfaits.

Il faut garder en tête que cette cérémonie a été vue par environ un milliard de téléspectateurs… Ils considèreront logiquement la France comme un pays d’homosexuels, de pervers et de blasphémateurs antichrétiens.

Signalons en vrac :

▬ un clip débile montrant la formation d’un couple futile (interracial évidement), qui devient rapidement un trio libertin avec le renfort d’un type maquillé de façon très malsaine. Baisers sur la bouche et regards libidineux. Nous ne mettrons pas d’illustration… Cette scène et d’autres ont d’ailleurs été coupées lors de la diffusion dans certains pays moins dégénérés.
Evidemment le métissage est promu et généralisé.

▬  une diva chantant « les aristocrates on les pendra », déguisée en Marie-Antoinette, portant dans ses mains sa propre tête décapitée, en un tableau effrayant (combien d’enfants traumatisés à travers le monde?) :

le bon goût et les méthodes républicaines exposés fièrement à un milliard de spectateurs…

Si l’idée était de faire de la cérémonie un hommage à la République française, qui s’est illustrée dans la barbarie autant que Daesch, c’est en effet réussi.

▬ des personnages à l’allure horriblement contre-nature s’exposant avec obscénité :

Il faut vraiment être malade pour s’afficher ainsi, ou pour organiser, ou apprécier, ce genre de spectacle.

▬  la chanteuse africaine Aya Nakamura déclamant ses paroles obscènes (heureusement incompréhensibles par 99% des gens) en se touchant ostensiblement l’entrejambe. A ce propos :

« Le spectacle poussif (play-back raté) d’Aya Nakamura, chanteuse présentée peut-être rapidement comme francophone, a été l’occasion d’une forte démonstration d’hostilité gauchiste.
En effet, en plus d’un ridicule et d’un mauvais goût souvent communs au reste de la cérémonie, la prestation de cette vedette qui piétine et massacre la langue française a été placée par les organisateurs devant le bâtiment de l’Académie française, comme un doigt d’honneur aux amis du français et plus généralement aux « conservateurs » (les gens sains d’esprit).
De plus, on a contraint la fanfare de la Garde républicaine à se mêler maladroitement aux gesticulations d’épileptiques des danseuses africaines, à joindre sa musique à ce bruit. Ce groupe d’hommes blancs en uniforme (l’ordre) incarne symboliquement l’ennemi du moment. Il convenait de l’humilier. » (source)

▬  Une atroce scène de parodie du célèbre tableau de Léonard de Vinci représentant la Cène du Christ, entouré de ses apôtres :

vinci cene milan

Ici, on a eu droit à des drag-queens (hommes travestis caricaturalement en femmes et prenant des postures provocantes), à la place de Jésus et ses disciples :

Les gens qui ont fait cela le regretteront amèrement au jour du jugement.
Ils ont par ailleurs blessé de très nombreux croyants à travers le monde.
Mais il ne faudra pas compter sur la Conférence des évêques de France, serpillère du pouvoir mondialiste, pour réagir virilement. Elle préfère ouvrir sa bouche pour dénoncer les patriotes lors des élections.

Après un long moment, lors de cette ignoble scène, un chanteur ventripotent vaguement connu (Philippe Katerine) s’est exposé quasiment nu et couvert de bleu. Il représentait Dyonisos, dieu grec, patron des amateurs d’orgies. On comprend que Macron et les siens le préfèrent au Christ, mais il ne symbolise pas encore vraiment la France, non ?
D’autres divinités païennes étaient représentées, telle Sequana, la déesse antique de la Seine.


Notez en arrière-plan les travestis et femmes à barbe qui se collent à des enfants !

Par prudence légale, nous ne dirons pas à quoi tout cela nous fait penser, mais vous en êtes sûrement arrivés aux mêmes conclusions.

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► voir aussi : Parodie dégénérée de la Cène : tentative de contre-feu autour d’un tableau

C’était un 27 juillet : la bataille de Bouvines

L’éphéméride du 27 juillet est particulièrement riche mais nous avons opté pour cet épisode historique, crucial dans l’histoire de France (et qui eut d’ailleurs des conséquences européennes notables).

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Texte tiré de la revue L’Héritage :

Le Soleil de Bouvines

La survie de la France tient à peu de choses. Qu’on se rappelle qu’à la suite du partage de Verdun (843) , elle n’était qu’un royaume à la périphérie du Saint Empire. Menacée à l’Ouest par l’Angleterre, à l’Est par l’Empire, la France n’a dû sa survie qu’à la volonté tenace d’une famille, les Capétiens. Ces efforts conduiront enfin sous le règne de Saint Louis à l’officialisation par la papauté de l’indépendance effective du royaume face à l’Empire.

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Pour se procurer cette image en carte postale, cliquer dessus

La bataille décisive de Bouvines est là pour nous rappeler que l’indépendance de notre nation fut toujours fragile et mérita tous les efforts de nos chefs.
Continuer la lecture de « C’était un 27 juillet : la bataille de Bouvines »

C’était un 26 juillet…

Les territoires d’Amérique du Nord ayant été colonisés par la France

1758: en Nouvelle-Ecosse, Louisbourg tombe aux mains des Anglais. Cette capitulation marque l’ultime fin de ce qui restait encore de l’Acadie française.
Malgré l’état lamentable de la forteresse (abandonnée par la France) qu’ils n’ont pu restaurer, en dépit de tous les rapports alarmants adressés à Versailles et de leur notable infériorité numérique, les assiégés (moins de 3000) ont résisté 48 jours à 15 000 hommes soutenus par une escadre de 24 vaisseaux de guerre et 18 frégates.

1792: à Paris, le Directoire du comité central des Fédérés prépare l’insurrection qui éclatera le 10 août. Un expert en troubles, Claude Fournier, dit l’Américain ou l’héritier, introduit pratiquement pour la première fois un drapeau rouge comme symbole de l’insurrection. Continuer la lecture de « C’était un 26 juillet… »

C’était un 24 juillet…

Description de cette image, également commentée ci-après1534: Jacques Cartier prend possession du Canada au nom du Roi de France. Parti le 20 avril 1534 de Saint Malo (où il a une statue tournée vers l’Ouest), Jacques Cartier atteint le golfe du Saint-Laurent et débarque à Gaspé après s’être arrêté à Terre-Neuve. Accueilli par des Indiens avec qui il échange des cadeaux, il plante une immense croix portant les armes du Roi de France, le 24 juillet.

1712: victoire inespérée des Français dirigés par le maréchal de Villars sur les Austro-Hollandais, commandés par le prince Eugène de Carignan-Savoie, l’un des plus grands chefs militaires de son temps.
Continuer la lecture de « C’était un 24 juillet… »

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