20 août 1955 : massacre d’El Halia. Un voisin à ses futures victimes : « Demain, il y aura une grande fête avec beaucoup de viande »

Il y a à peine soixante ans…

Le FLN – organisation séparatiste et terroriste soutenue entre autres par la gauche française et toujours au pouvoir en Algérie – avait décidé, devant l’essoufflement de sa propagande, de passer à une stratégie sanguinaire pour faire « monter la pression » en Algérie française.

Ainsi, dans le petit village minier d’El Halia, 71 Européens furent massacrés de la façon la plus ignoble que l’on puisse imaginer.
Outre les égorgements des hommes (après ablation du sexe et vision du viol de leurs femmes et de leurs filles) et l’éventration des femmes – méthode habituelle -, on note pour la première fois des personnes dépecées, vraisemblablement tant qu’elles étaient vivantes. Ainsi que des empalements.

Souvenons-nous aussi comme des voisins chaleureux et ceux que l’on croyait des « amis » se sont transformés du jour au lendemain.

Description puis témoignage :
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13e dimanche après la Pentecôte – textes de la messe commentés

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivaient nos aïeux), avec leur commentaire.

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« Les Juifs voulaient imposer la loi mosaïque aux chrétiens ; saint Paul montre que ce n’est pas elle qui donne la sainteté aux âmes, puisque, avant la loi, Abraham, le père du peuple juif, fut sanctifié par sa foi en Jésus. Tous ceux donc, juifs ou païens, qui entrent dans l’Eglise et mettent leur foi dans les mérites de la passion du Christ seront sauvés. Le divin sauveur, en effet, guérit tous les lépreux, juifs ou samaritains, qui recourent à Lui. « Lève-toi, dit Jésus à ce dernier, c’est ta foi qui t’a sauvé ». C’est lui qui par son Eglise rend la santé de l’âme à tous ceux, juifs ou païens, qui viennent à Lui.

Parmi les dix lépreux guéris, il y en eut un qui eut foi au Christ. Et sa foi lui obtint le salut. Nous aussi, pécheurs, nous devons attendre de Jésus-Christ le salut. Nous rappelons aujourd’hui à Dieu l’Alliance qu’il a scellée avec nous. Alliance et salut restent de pures libéralités de sa part. Nous sommes incapables de sortir, par nos mérites, du péché dont nous sommes prisonniers. Seule nous libère la foi au Christ. Et cette espérance donne plus de sécurité que ne le ferait une confiance humaine. »

(extraits de missels).

COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgiquedisponible ici avec ses autres livres)

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15 août : Assomption de la sainte Vierge. Fête nationale française. Voeu de Louis XIII

L’Assomption désigne l’élévation aux Cieux de la mère du Christ, corps et âme.

La Sainte Vierge – qui selon la doctrine catholique, tient dans la Création une place si particulière – quitta ce monde d’une façon extraordinaire : son corps fut préservé de la corruption que connaissent les cadavres, tout comme son âme avait été préservée de la corruption du péché.

C’est la principale fête mariale. L’Assomption est un dogme.

En France, s’ajoute au 15 août le caractère de fête nationale, depuis Louis XIII.

Voyez ci-dessous, en comparant les origines des deux « fêtes nationales », comme on est loin du 14 juillet qui commémore la naissance mythologique de la République dans la haine et dans un bain de sang bien réels….

Le voeu :

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12e Dimanche après la Pentecôte – textes de la messe commentés

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivaient nos aïeux), avec leur commentaire.

« En même temps qu’elle nous rappelle ce que doit être notre propre charité, miséricorde envers le prochain quel qu’il soit, la parabole du bon Samaritain évoque ce que fut celle du Christ à notre endroit (Év.). C’est la joie de l’Église de pouvoir prolonger auprès des hommes ce ministère de bonté, qui est aussi un ministère de gloire, capable de guérir les blessures du péché et de porter partout la vie divine autour de soi (Ép.).
Appuyée sur la médiation du Christ, la prière de l’Église monte confiante vers Dieu, comme celle de Moïse, sûre d’être exaucée quand elle implore la miséricorde divine en faveur de son peuple (Offert.)
»

Dom G. Lefebvre

TEXTES AVEC COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgiquedisponible ici avec ses autres livres)

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C’était un 10 août… 1792 : naissance de la République dans un massacre

Depuis la fuite de Varennes, le roi Louis XVI et sa famille sont assignés à résidence au palais des Tuileries (aujourd’hui disparu), à l’ouest du Louvre.
La tension est vive et, excitée par Danton, une foule de sans-culottes se masse aux abords du palais.

La résidence royale est défendue par 900 gardes suisses et quelques centaines de gardes nationaux.
Louis XVI les passe en revue. Selon l’usage, les Suisses et les gardes nationaux crient : « Vive le roi ! ». Mais les artilleurs et le bataillon de la Croix-Rouge crient de leur côté :
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C’était un 9 août : Nagasaki, ou la guerre selon les démocrates

Le 9 août 1945, les Etats-Unis, champions de la Démocratie, lâchaient sur la ville japonaise de Nagasaki une bombe atomique.

Il s’agissait d’une politique de terreur destinée à faire plier plus vite l’Etat nippon (dont la défaite était en cours) – et à impressionner les rivaux soviétiques – en tuant ses civils.

La première bombe A avait été lâchée sur Hiroshima trois jours plus tôt (entre 100 000 et 200 000 morts).

Nagasaki a été entièrement soufflée (au moins 60 000 morts).
Rappelons que cette ville était celle qui comptait le plus de catholiques japonais, et qu’elle avait été fondée pour eux. Un hasard ?

L’URSS en profita pour déclarer (enfin!) la guerre au Japon, et s’accaparer ainsi les îles Kouriles et Sakhaline.

Un commentaire de l’abbé Ugo Carandino :

Le 9 août 1945, l’humanité, qui avait largement abandonné la foi et la raison, a assisté à la deuxième hécatombe atomique.
Trois jours après l’attaque atomique d’Hiroshima, ceux qui détiennent le pouvoir aux États-Unis d’Amérique ont décidé de bombarder aussi Nagasaki, le cœur du catholicisme japonais.
Ce qui frappe, ce n’est pas tant la brutalité et l’impudence de l’attaque, qui font partie de cet arsenal infernal dont l’homme aveuglé par les passions les plus féroces est muni, mais plutôt la dignité des catholiques au Japon.
Personne n’en parle, mais le courage des familles des défunts et des blessés survivants, qui ont trouvé dans la foi catholique l’aide surnaturelle pour résister à l’immense tragédie, est admirable.
En effet, malgré le silence impuissant de l’Occident sur leur sort et le refus des auteurs de demander pardon, les catholiques japonais n’ont jamais suivi la voie de la vengeance et du chantage moral, sans ainsi instrumentaliser leurs morts, mais sont restés attachés aux enseignements de l’Évangile, en particulier aux Béatitudes.
La photo fait référence à la messe célébrée devant les ruines de la cathédrale Urakami de Nagasaki en juin 1949.

7 août 1932 : « loi des épis » et génocide ukrainien

holodomor_v1Le 7 août 1932, le gouvernement de l’URSS promulgue une loi qui punit de dix ans de déportation, voire de la peine de mort, « tout vol ou dilapidation de la propriété socialiste », y compris le simple vol de quelques épis dans un champ.

Cette « loi des épis » survient alors que les campagnes soviétiques connaissent un début de famine du fait des réquisitions forcées par le pouvoir et de la « dékoulakisation » (élimination des paysans considérés comme riches).

On estime qu’en Ukraine, au moins six millions de paysans vont mourir de faim dans les mois suivants, de par la responsabilité des autorités communistes.
Cette « Grande famine » (« Holodomor », « extermination par la faim » en ukrainien), intentionnellement entretenue et amplifiée par Staline (qui s’appuyait sur de nombreux cadres soviétiques juifs – d’où un ressentiment longtemps tenace des Ukrainiens envers cette communauté) est assimilée à un génocide par la plupart des historiens ainsi que par les Ukrainiens.

C’était un 6 août… : Hiroshima, la « charge de Reichshoffen »…

• 1945 : bombardement de la ville japonaise d’Hiroshima, par les Etats-Unis, alors que le Japon était en train de perdre la guerre.
Une première dans l’histoire de l’humanité. Environ 100 000 civils tués.

Le Monde évoquera d’abord ce crime comme « une révolution scientifique »…

• 1870 : la charge de Reichshoffen.

« La charge des cuirassiers » tableau de Théodore Levigne peint en 1878

C’est sous ce nom qu’est rentré dans le mythe français cet épisode tragique de la guerre franco-prussienne.

Ce jour-là, en Alsace, la bataille fait rage, principalement sur les territoires des communes de Woerth, de Frœschwiller et de Morsbronn.

Le nom de Reichshoffen est passé à la postérité car l’état-major de Mac-Mahon s’y trouvait ainsi que plusieurs escadrons de cuirassiers (cavalerie lourde) qui y étaient basés et qui s’illustrèrent dramatiquement pendant la bataille.

Courageusement, les Français se battirent à un contre quatre et les fameux « cuirassiers de Reichshoffen » (de la brigade Michel) se sacrifièrent héroïquement lors de grandes charges contre les Prussiens qui les piégèrent et qui les abattirent quasiment à bout portant ; comme ce fut notamment le cas à Morsbronn, où les cuirassiers chargèrent contre le village et s’engouffrèrent dans les rues étroites, s’offrant ainsi à l’ennemi embusqué dans les maisons.

La défaite des troupes françaises entraina la perte de la province, mais le sacrifice des cuirassiers permit la retraite de l’armée de Mac-Mahon, en bon ordre, au lieu du désastre initialement redouté.
Ci-dessous le récit épique de cet épisode, tiré du livre de Jules Mazé, L’Année terrible. Les étapes héroïques.
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C’était un 5 août…

1884 : pose, par la Grande Loge de New York, de la première pierre du piédestal de la statue de La liberté éclairant le monde, sur l’île Beldoe du port de New York.
Son auteur est le franc-maçon français Frédéric Auguste Bartholdi.
La statue (dans un rapprochement avec Lucifer, « le porteur de lumière ») symbolise l’expansion de l’idéologie maçonnique à travers la planète.
Et ce, si nécessaire à la lumière des bombes atomiques ou au phosphore…

1895 : mort de Friedrich Engels, philosophe communiste et mécène de Marx.
Coauteur de la plupart  de ses ouvrages, il ne travailla quasi jamais, étant le fils d’un très riche industriel luthérien du textile.
Il mena une existence schizophrénique, se séparant entre action révolutionnaire et exploitation de ses prolétaires.

Résultat de recherche d'images pour "jules lemaitre"1914 : décès de Jules Lemaître (né en 1853),  fondateur de la Ligue de la Patrie française (1898).
Cet important mouvement nationaliste fut créé en réaction à la sinistre « Ligue des droits de l’homme », dans le cadre de l’« affaire Dreyfus » – à laquelle il ne survécut d’ailleurs pas (tout comme la Ligue des patriotes de Paul Déroulède), étant dissout en 1904.
Lemaître était toutefois surtout antimaçon.
Agrégé de lettres, écrivain, critique littéraire et dramatique, académicien, il avait fait du mouvement qu’il présidait un repaire d’intellectuels, de personnalités mondaines, d’académiciens.

Intime de Léon Daudet, il avait rallié l’Action française en 1908.
Il laisse une œuvre diverse et solide dont Les contemporains (4 volumes), des contes et histoires de Noël et une biographie de Chateaubriand.

11e Dimanche après la Pentecôte – textes de la messe commentés

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivaient nos aïeux), avec leur commentaire.

« Les miracles du Sauveur sont plus qu’un simple signe de sa puissance et de sa bonté ; ils sont en même temps le symbole de ce que sa grâce opère à l’intime des âmes. L’ « Ephphetha » qui a guéri le sourd-muet, l’Église le redit sur chacun de nous au baptême : ouvre-toi pour entendre les promesses de Dieu, ouvre-toi pour les proclamer.
L’Église nous fait encore chanter aujourd’hui la toute-puissance et l’infinie bonté de Dieu, qui rassemble et réjouit son peuple par la protection qu’il lui donne (intr., offert.). Il nous a faits pour lui et connaît les besoins profonds de nos âmes ; il nous exauce au-delà même de nos désirs (coll.). C’est également la grâce divine qui  donne aux ministres de l’Évangile des possibilités d’influence et de rayonnement surnaturels qui ne peuvent venir que de l’Esprit de Dieu (Ép.). »

Dom G. Lefebvre

 

TEXTES AVEC COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgiquedisponible ici avec ses autres livres)

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4 août 1532 : traité d’union perpétuelle de la Bretagne et de la France

Armes de Louis XII et d’Anne de Bretagne

Les États de Bretagne, convoqués par François Ier à Vannes après le couronnement du dauphin comme duc de Bretagne à Rennes, adressent au monarque une supplique pour « unir et joindre par union perpétuelle iceluy pays et duché de Bretagne au royaume, le suppliant de garder et entretenir les droits, libertés et privilèges dudit pays et duché ».
Cette requête, présentée au roi dans la grande salle du palais épiscopal de la Motte, est acceptée par une lettre donnée à Vannes le 4 août 1532 :

Parodie LGBT de la Cène : un des pervers mime-t-il un égorgement auprès d’un enfant? (video)

Une nouvelle polémique a éclaté sur internet après la cérémonie d’ouverture, après que cette séquence a été repérée.
Lors de cette mise en scène soigneusement préparée, l’« artiste » subversif mime-t-il un égorgement auprès d’un enfant?

Déjà, rien que le fait de mêler des enfants à ces travestis et militants homosexuels (qui les enlaceront à un moment de la séquence) devrait révolter tout le monde et déclencher des enquêtes.

Le dîner d’Etat à Versailles pour recevoir Charles III a coûté 11 fois plus que l’équivalent en Allemagne

Dans son dernier rapport, la Cour des Comptes révèle que le seul dîner d’Etat à Versailles pour recevoir Charles III a coûté 475 000 €.

Image

Soit 11 fois plus que le dîner équivalent (43 000€) ou les 3 jours de visite (440 000€) en Allemagne.

Est-ce que le Parquet national financier va mettre son nez dedans ?
Non.

JO : des chrétiens d’Irak jeûnent pour expier la cérémonie d’ouverture

How is Epiphany celebrated in the Assyrian Church? — Embrace the Middle East

Plus sérieux que les évêques français, les chrétiens d’Irak – d’une ville persécutée par l’Etat islamique – entendent faire pénitence pour la cérémonie gaucho-LGBT de Paris qui a outré presque toute la planète.

« Les fidèles chrétiens de Mossoul, en Irak, ont été appelés ce lundi 29 juillet à jeûner par Younan Hano, l’archevêque syriaque catholique de la ville, en réaction à la cérémonie d’ouverture des jeux Olympiques de Paris du 26 juillet, qualifiée d’« insulte à la religion mais aussi à l’humanité ».

« Nous n’avons rien d’autre à offrir que la prière et le jeûne pour que Dieu pardonne cette grande insulte, a affirmé à l’AFP Younan Hano. Nous avons été choqués, alors que la France est un pays de laïcité et d’humanité, un pays qui respecte toutes les nationalités et toutes les religions, qu’un tel comportement offensant envers les symboles religieux vienne de ce pays. »

À la veille de cet appel, l’Église catholique chaldéenne d’Irak a aussi fait part de son émotion dans un communiqué, mentionnant que son patriarche, le cardinal Louis Raphaël Sako, principal dirigeant chrétien d’Irak, « se tient aux côtés de l’Église de France ». « Ce qui s’est passé durant la cérémonie (…) est honteux », blessant « la foi et les sentiments (…) des chrétiens dans le monde », a-t-elle mis en avant. […] » (Source)

Parodie dégénérée de la Cène : tentative de contre-feu autour d’un tableau

Alors qu’un grand émoi, en France et surtout à l’étranger, a été suscité par une mise en scène – de femmes et travestis exubérants, aux attitudes indécentes ou obscènes – qui ressemblait furieusement à une parodie du dernier repas du Christ (la Cène) représenté par Léonard de Vinci dans un tableau illustre, un contre-feu a été allumé sur les réseaux sociaux.

Pour désamorcer la crise, certains avancent avec conviction une thèse qui disculperait d’un blasphème et d’une provocation antichrétienne :

Beaucoup tombent trop facilement dans le panneau, d’autant que devant le tollé international, certains organisateurs rétropédalent.

Pour ce qui concerne la théorie du tableau de Van Biljert, œuvre qui est infiniment moins connue que celle de Léonard de Vinci (et n’est pas particulièrement fameuse, alors que ceux qui l’exhument font mine de prendre pour des incultes ceux qui la méconnaissaient, ce qui est une technique de manipulation minable) :
– d’une part elle s’inspire elle-même du fameux tableau de Vinci sur la Cène, elle le reprend !
C’est même précisé dans le musée où est exposée cette toile.
– d’autre part le ventripotent peint en bleu symbolisant Dionysos durant la cérémonie apparaît près de trois quarts d’heure après le début de la séquence blasphématoire…

Ceux qui décidaient de cette mise en scène laide et répugnante (avec des travestis se frottant à des enfants en arrière-plan) savaient très bien comment serait interprété leur tableau.
A travers le monde, de très nombreux chrétiens et même non-chrétiens compatissants ont exprimé leur indignation devant cette parodie antichrétienne. Même Mélenchon a déploré, avec une sincérité que nous ne connaîtrons qu’au Jugement dernier, cette attaque.
Même la lamentable et très mollassonne Conférence des Evêques de France a réagi, c’est dire !
La gauche la plus tarée, elle, se réjouit ouvertement, comme le « philosophe » médiatique Raphael Enthoven, qui parle de « Cène enwokée » :


D’autre part, tous les gros médias (le Monde, le Figaro, etc.) ont évoqué la Cène, en parlant de cette séquence.

France Télévision, le diffuseur de la cérémonie, se pâmait, en parlant de « mise en Cène » :

Quand absolument tout le monde comprend la même chose, c’est que le message est clair.

D’autre part, des intervenants directs ont eux-mêmes présentés leur ignoble prestation comme une représentation de la Cène !

Un travesti qui avait un rôle de premier plan et particulièrement indécent assumait au micro de BFMTV :

L’activiste subversive Barbara Butch a repris fièrement sur sa page Instagram  un message (le supprimant plus tard) assumant la moquerie :


Elle avait repris un autre message, plus blasphématoire encore, que nous ne retranscrirons pas.

Damien Gabriac, l’un des organisateurs de la cérémonie d’ouverture des JO, confirme la question de France Inter qui lui parle de « la Cène » :

Bref tout le monde a compris ce qu’il y avait à comprendre ; les tentatives de diversion relèvent de la mauvaise foi, et le rétropédalage de certains organisateurs, devant le tollé qu’ils ont suscité, ne fait qu’ajouter à leurs graves méfaits la lâcheté et le mensonge.

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