Un dirigeant afrikaner séparatiste assassiné

Le leader sud-africain blanc Eugene Terreblanche a été battu à mort pendant son sommeil par deux jeunes noirs samedi dans sa ferme située dans les environs de Ventersdorp à 100km à l’ouest de Johannesburg.

« Le corps de M. Terreblanche a été découvert sur le lit, portant des blessures au visage et à la tête », a ajouté Adele Myburgh. Une machette a été retrouvée sur le cadavre, ainsi qu’un « knobkerrie » -une sorte de matraque africaine à bout rond-à proximité du lit.

Ce nouveau meurtre de fermier blanc intervient à moins de dix semaines du coup d’envoi de la Coupe du monde de football -la première disputée sur le sol africain-alors que l’inquiétude grandit dans le pays en raison du nombre particulièrement élevé de billets invendus et de chambres d’hôtel encore libres pour la compétition.

Descendant de huguenots français, Eugene Terreblanche débuta sa carrière politique en 1973, fondant avec six autres nationalistes blancs le Mouvement de résistance afrikaner, l’AWB, organisation prônant la séparation ethnique. Farouche opposant à la démocratie parlementaire, sous toutes ses formes. Terreblanche arrivait aux meetings politiques à cheval, escorté par des gardes du corps en habits militaires et devint le leader charismatique d’une petite minorité de blancs sud-africains, principalement chez les fermiers boers dans les zones rurales du pays, comme l’Orange Free State ou le Transvaal.

Récemment, il avait fustigé la corruption du gouvernement sud-africain. « Notre pays est dirigé par des criminels qui tuent et volent (…) Nous sommes à nouveau opprimés. Mais nous nous relèverons », avait-il déclaré en faisant référence à la résistance des Afrikaners lors de la guerre des Boers (1899-1902).

Nos états d’âme modifient l’expression de notre ADN

« Un esprit sain dans un corps sain » cet adage établi par le Docteur Alexis Carrel dans son célèbre ouvrage « l’Homme, cet inconnu », vient d’être renforcé par la preuve scientifique que l’esprit influencerait l’expression de notre ADN.

« Une équipe menée par Mikael Meaney, à l’université de McGill (Canada), l’a montré en comparant le cerveau des bébés rats cajolés par leur mère à ceux de ratons délaissés. Le délaissement induit des modifications épigénétiques qui bloquent le gène utilisé pour produire le récepteur aux corticoïdes dans l’hippocampe. Or, ce récepteur contrôle la réponse au stress en réduisant le taux sanguin de cortisol, l’hormone libérée en cas de stress. En clair, les rats délaissés possèdent moins de récepteurs au cortisol, et sont alors moins bien armés pour faire face au stress. Perpétuellement angoissés, ils souffrent de troubles de la mémoire et d’un comportement dépressif. Même à l’âge adulte, le moindre dérangement prend chez eux des proportions alarmantes […]. Lorsqu’une femme est dépressive ou anxieuse pendant sa grossesse, le bébé a tendance à présenter un marquage épigénétique anormal sur le gène du récepteur aux corticoïdes. Avec pour conséquence un nourrisson au taux de cortisol élevé, très sensible au stress. La preuve que nos gènes gardent la cicatrice des évènements vécus avant même la naissance.» (source : Science et vie Mars 2010)

Ces modifications pourraient peut-être être transmissibles héréditairement.

L’expression de l’ADN pouvant être modifié par l’environnement, on voit alors toute l’importance du rôle de la  société et la qualité de l’éducation dans la construction de l’individu et son équilibre psychique… Alexis Carrel pressentant : « L’avenir sera ce que nous serons nous-mêmes. Il est bien certain que le principe du moindre effort, la morale du plaisir, le libéralisme sont en contradiction avec les règles de conduite inscrites dans la structure même de notre corps et de notre esprit. Ils doivent être rejetés de façon radicale ». 

Bourrage de crâne en Alsace – 3ème épisode

« Il nous faut occuper le terrain. Sur Internet, on trouve du grand n’importe quoi sur cette période tragique de l’histoire », explique Valérie Drechsler, la directrice du Centre européen du résistant déporté (Cerd).

Le bourrage de crâne des jeunes Alsaciens et plus généralement des jeunes Français continue. Cette fois-ci, c’est par le biais d’un site Internet sur le camp d’internement du STRUTHOF destiné en particulier aux « élèves et à leurs enseignants ». La panoplie du catéchisme shoastique semblait pourtant déjà bien fournie, mais il faut croire que le message doit toujours être davantage martelé. C’est ce que souligne Claire Lovisi, rectrice de l’académie de Strasbourg  : « Ce site nous rappelle surtout au devoir de vigilance ».

Par ailleurs, le négationisme ne semble pas déranger les auteurs du site, puisqu’il n’y figure aucune mention de l’utilisation du Struthof comme camp d’internement après la guerre où ont été détenus dans des conditions particulièrement ignobles de nombreux Français patriotes, à l’image de Pierre SIDOS.

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Du beau boulot

Deux frères, John et Bob Woodmard, ont reconstitué la mosaïque d’Orphée, la plus grande mosaïque romaine jamais découverte outre-Manche.

La reconstitution aura nécessité dix ans de travail de la part des deux hommes. En plus de la création en elle-même, c’est-à-dire de l’assemblage de 1,6 million de pièces en argile, ils ont dû effectuer de nombreuses recherches puisque la mosaïque d’origine était incomplète.
La mosaïque représente Orphée, le poète et musicien le plus célèbre de l’Antiquité, tenant une lyre sur le genou gauche ainsi qu’un grand nombre d’animaux l’entourant, notamment un tigre, un léopard, un lion, un éléphant, un ours, un cerf, un cheval, des oiseaux et son chien de chasse. Deux nymphes y sont également représentées.
La mosaïque originale date de l’an 325 et a été déterrée en 1793, à Woodchester. Elle a régulièrement été exposée puis à nouveau recouverte de terre. Lorsqu’en 1973, elle a été réexposée au public, une foule s’est précipitée pour voir la plus grande mosaïque romaine de Grande-Bretagne. Même si de nombreuses parties sont manquantes, la scène représentée reste compréhensible. Cependant, pour la reconstituer dans les détails, Bob a dû effectuer de longues recherches, notamment sur d’autres mosaïques d’Orphée.
L’œuvre, dont les côtés mesurent plus de 14 mètres, est actuellement exposée à l’abbaye de Prinknash et sera mise en vente le 24 juin prochain. Les deux frères espèrent que son prix atteindra 25.000 livres, soit 28.000 euros.

Source et photos.

Sarközy ne sait pas ce qu’est un Français

Mercredi 31 mars dernier eut lieu une réunion durand laquelle notre bien-aimé président tenta de calmer l’ire des députés de la majorité, suite à la dernière raclée électorale.

 Lors de la séance de questions-réponses, il déclara : « Moi, l’expression “Français traditionnel”, je ne sais pas ce que cela veut dire. »
Il se référait à Gérard Longuet, sénateur UMP et ancien membre d’Occident, pour qui il faut quelqu’un « issu du corps traditionnel français » à la tête de la HALDE afin qu’elle soit plus efficace.

Quand on sait que Sarközy, qui est actuellement à 28% dans les sondages (le plus bas niveau jamais atteint par un président de la république), considère être « un homme de sang mêlé à la tête d’une nation métissée », on imagine aisément ce qu’est, pour lui, la « France d’après » : tout, sauf la France.
Et dire que certains se sont laissés prendre…

Verdict surprenant et intéressant

Ils étaient huit à comparaître pour avoir inscrit «stop à la pub» et «stop au matraquage» à la bombe sur des panneaux publicitaires des Champs-Elysées, en plein jour, le 26 janvier 2008. Une action classique pour les membres de ce collectif qui «barbouille» ouvertement des publicités une fois par mois depuis sa création en 2005. L’élément de surprise est venu du jugement. Pour la première fois, le président du tribunal a décidé la relaxe au nom de la liberté d’expression.

Le président du tribunal correctionnel, Olivier Géron, a estimé vendredi dans son jugement qu’en apposant leurs «messages» sur les panneaux commerciaux, qui sont des espaces d’expression dans l’espace public, les militants n’ont pas commis de «dégradation», mais ont exercé leur «liberté d’expression» qui «ne saurait constituer une infraction». Le parquet, qui avait requis 3.000 euros et 300 euros d’amende contre les deux militants interpellés, et la relaxe pour les six comparants volontaires, n’a pas précisé s’il allait faire appel.

Les «déboulonneurs», qui prônent la «désobéissance civile» contre la publicité, considèrent que plus d’un tiers du million de panneaux publicitaires implantés en France ne respectent pas la loi de 1979 sur la publicité extérieure et les enseignes. Invoquant la «liberté de réception», envers de la liberté d’expression, ils réclament notamment l’alignement du format des publicités commerciales sur celui des affiches utilisées par les partis politiques et les associations, à savoir, 50 sur 70 cm. (Source)

Peut-être y a-t-il toutefois un rapport avec les bonnes relations qu’entretient ce collectif avec le secrétariat d’Etat à l’écologie ?
«Son cabinet, avec lequel nous avons déjà travaillé dans le cadre du Grenelle de l’environnement, doit nous recontacter pour fixer une réunion avant l’examen du projet de loi Grenelle 2 le 4 mai», indique Nicolas Hervé, l’un des prévenus.

Nouvelles d’Afrique du Sud

L’ANC, ancienne organisation terroriste responsable de nombreux assassinats du temps de l’apartheid, et aujourd’hui parti au pouvoir en Afrique du Sud, n’a pas renoncé à son racisme antiblanc.

Ainsi, elle voudrait remettre au goût du jour une chanson dont les paroles contiennent des paroles telles que « Tuons le Boer » (les Boers étant les descendants des pionners blancs en Afrique du Sud).

Le virulent Julius Malema, dirigeant de la Ligue des jeunes de l’ANC, l’a même entonné lors d’une réunion publique, au grand plaisir des oreilles de Jacob Zuma, actuel chef de l’Etat (qui vient de fêter la naissance de son 20ème enfant).

Source

La rédemption d’une femme ayant avorté

Un reportage qui n’est pas dans l’air du temps !
En cliquant sur l’image, vous accéderez au témoignage d’Amélie, chanteuse et animatrice qui raconte le jour où elle a avorté.
Aujourd’hui elle estime être une criminelle et explique pourquoi à travers son parcours de rédemption.
A voir pour celles qui se posent des questions.

On peut aussi retirer de ce témoignage le conseil suivant : mesdemoiselles, choisissez bien votre homme !