Le 31 décembre 2004 était signé le décret d’application de la loi contre l’homophobie dite « Loi Nouchet ».
Sébastien Nouchet, homosexuel, avait été retrouvé le 16 janvier 2004 brûlé au visage et aux mains au 3e degré dans son jardin à Noeux-les-Mines (Pas-de-Calais). Il avait indiqué aux enquêteurs qu’il avait été victime d’une agression homophobe. Ses agresseurs l’auraient aspergé d’essence qu’ils avaient enflammée. L’agression s’était passée sans témoin.
Révélée en évrier 2004, l’affaire fait alors grand bruit dans les médias. Dominique Perben, ministre de la Justice fait voter une loi sanctionnant les propos homophobes et créant la notion de circonstance aggravante d’homophobie pour les crimes et les délits.
Toute ce battage politico-médiatique ne reposait en fait sur rien et avait été instrumentalisé par le lobby gay. Pendant l’enquête, il s’avère que le sodomite Sébastien Nouchet a menti. L’homme qu’il accuse de l’avoir agressé était en prison au moment des faits!
Après plus de deux ans et demi d’instruction, le juge de Béthune prononce un non-lieu dans cette affaire.
Sébastien Nouchet ayant déjà commis 19 tentatives de suicide auparavant, tout indique que la fausse agression était une nouvelle tentative de suicide.
Nouchet aurait dû être poursuivi pour dénonciation calomnieuse mais l’Etat républicain protégea l’odieux menteur pour ne pas compromettre sa loi liberticide.